La
passion expliquées par Jésus à Jennifer, La Voix de Dieu 25 mars 2016
Objet :
|
[Articol nou] La passion expliquées par Jésus à
Jennifer
|
De :
|
La voix de
Dieu Magazine - (donotreply@wordpress.com)
|
À :
|
Olivia Marcov ;
|
Date :
|
Vendredi 25 mars 2016 11h56
|
Articol nou pe blogul "La voix
de Dieu" Magazine -
La passion expliquée par Jésus à Jennifer
by lavoixdedieu
La passion expliquée par Jésus à
Jennifer - 4 novembre 2006
C’est en avril
2001 que Jennifer a commencé
à entendre à répétition, les paroles : «Viens à moi » Il s’agissait d’une voix
d’homme très douce. En juillet 2001, elle a demandé à la voix qui il était
et ce qu’il voulait. Sa réponse fut : « Je suis Celui qui
est venu pour remettre les péchés du monde » En novembre 2001, Jésus lui a
dit que le prêtre qui célébrait la messe était celui qui était choisi pour la
guider. Elle a hésité longtemps avant d’agir, mais après quelques mois,
elle a téléphoné à ce prêtre en lui répétant ce que Jésus lui avait dit.
Le 27 juillet 2002, elle a
rencontré ce prêtre, le Père Joel Cycenas, qui lui a demandé d’écrire toutes
les paroles qu’elle entendait. Elle a écrit pendant près d’un an et commençait
à se sentir frustrée et croyait qu’elle devenait folle. En février 2003,
dans la prière, elle demanda un signe pour vraiment savoir si tout cela venait
de Dieu. Le 3 mars 2003, à 15 :00 h. Jésus lui a dit : «Je
veux que tu écrives ce message pour le monde car tu es Mon instrument
choisi. N’aie pas peur, car la peur ne vient pas de Moi, car Je t’ai
préparée pour cette mission ». Jusqu’au 18 mars 2005, elle a
reçu plus de 650 messages, certains personnels, certains pour son directeur
spirituel et certains pour le monde. C’est à la messe et à l’adoration
qu’elle se sent le plus attirée vers Jésus.
Son directeur spirituel est
toujours le Révérend Père Joel E. Cycenas de l’État du Minnesota aux
États-Unis.
Les étapes du
« dernier repas » expliquées par Jésus à Jennifer (4 nov. 2006)
« Mon enfant, alors que les disciples et moi-même
étions réunis dans la pièce supérieure du temple, ils étaient remplis d’une grande
anticipation. Plusieurs d’entre eux, bien que je leur avais dit avant
qu’ils verraient bientôt mes paroles se dérouler, ressemblaient beaucoup aux
vierges folles. Mon cœur
succombait tellement à la joie du travail qu’ils accompliraient après que je
les aurais quittés.
Je
leur avais donné toutes les choses nécessaires afin qu’ils accomplissent leur
travail de répandre mes paroles dans le monde. Cependant, ce qu’ils ne
savaient pas, c’était que ce dernier repas n’était que le début du repas pour
ceux qui recevraient mon très précieux Corps et Sang.
Pendant que nous étions rassemblés autour de la table, je
leur ai dit que c’était la
nouvelle alliance répandue sur l’humanité. Car, qui mange ma chair et
boit mon sang, aura la vie éternelle, puisque c’est à ce moment que le
sacerdoce est né. Mes fils choisis furent appelés à ce dernier repas à
devenir ma voix et mes mains dans le monde.
Leurs mains deviennent l’œuvre du Père, du Fils et leurs
voix celle de l’Esprit Saint. La Trinité devient totalement présente dans
tout le travail qu’ils font si c’est en conformité avec ma volonté, car je suis
Jésus. J’ai institué ce
jour-là le plus grand moyen dans lequel l’humanité pouvait être unie avec le Père
par son Fils, car je suis Jésus.
Ce n’est qu’à mes prêtres choisis qu’a été donné le don
des mains consacrées… consacrées pleinement dans les
dons, de nous, votre Dieu Trinitaire. Les disciples furent émus par mes
paroles quoiqu’ils ne les comprenaient pas tout à fait et au beau milieu de
l’écoute de ces paroles se trouvait celui qui me trahirait pour de l’argent.
Rappelle-toi mon enfant de ce que je t’ai parlé et dit,
que durant ma passion je pouvais voir le nombre des fils choisis qui ne
tiendraient pas compte de leur vocation, car celui
qui connaît la vérité mais qui renie, est dans un plus grand péché que celui
qui n’a pas toute la connaissance.
Mes fils prêtres sont ma voix, mes mains dans ce monde,
et leurs actions, leurs paroles doivent être à l’unisson avec moi, car je suis
Jésus. Je n’ai donné que moi-même à l’humanité et mes fils choisis
doivent faire de même. Ils
doivent suivre celui qui a les clés, le gardien que j’ai choisi à Rome. Si celui qui ne suit pas les
règles du gardien, alors il n’a aucun mérite à faire mon travail, car alors ce
n’est pas en conformité avec ma volonté. Mon enfant, ce fut à cette table
sur laquelle j’ai rompu le pain, que je pouvais voir devant moi combien de mes
fils choisis me trahiraient.
Car, que mes fils choisis soient désobéissants à mon fils
choisi à Rome, c’être être comme Judas. Car, que mes fils choisis soient
désobéissants aux vrais enseignements de mon Église, c’est embrasser leur
maître en le trahissant, car celui qui connaît la vérité et la renie, me
renie. Et il y a de
nombreux Judas qui subsistent dans mon Église.
La trahison d’un fils choisi ne fait pas que causer la
perte d’un seul mais de plusieurs. Tout
comme une épouse doit être soumise à son mari, un fils choisi doit être soumis
à son Maître, car je suis Jésus. Car un mari doit aimer sa femme comme
j’aime mon Église et je donne de l’amour et que de l’amour à mes fils
choisis.
Il leur est donné les plus
grands moyens de tout humain existant sur la surface de la terre et de ne pas
rechercher leurs vocations avec la pureté du cœur, c’est renier le véritable
appel que je désire.
Si une épouse est totalement soumise à son mari et qu’un
mari aime pleinement sa femme, alors les fruits viendront au moment où il
m’emmèneront leurs enfants, car ils sont responsables de s’occuper et de
nourrir l’âme de leurs enfants.
C’est à peu près la même chose pour mes fils
prêtres. Mes fils
choisis sont mariés à l’Église et lorsqu’ils sont soumis à mon Église, les
fruits viennent , car mon peuple ce sont leurs enfants qu’ils doivent aussi
nourrir et s’occuper.
Lorsqu’un fils choisi n’est pas totalement soumis, les
fruits ne sont pas donnés dans toute leur plénitude et là où il y a un manque
de soumission, le mal subsiste et s’infiltre dans mon Église comme un voleur
dans la nuit et il fait de l’argent et du pouvoir sa proie.
Puis, je levai devant eux la coupe remplie de vin.
Je leur ai dit que c’était la nouvelle et éternelle alliance. Pendant que
je leur disais ces paroles ils sont demeurés silencieux mais, ce qu’ils ne réalisaient pas,
c’était que ce dernier repas serait l’institution de la messe. À chaque fois que les gens
viennent à la messe, ils viennent au dernier repas (souper). Tous sont
appelés, mais peu sont choisis. Tous sont appelés mais peu recherchent le
Royaume des Cieux.
Mon enfant, car une personne qui
prive son âme de mon très précieux corps et de mon Sang se prive de la
plénitude de mon amour. Car une âme qui refuse de reconnaître ma réelle
présence dans l’Eucharistie, est aussi bonne qu’un corps dans la fosse,
cependant cela place l’âme dans la fosse et il n’y a pas de vie à l’intérieur
de l’âme.
J’ai dit aux disciples que c’était mon désir de partager
ce repas avec eux, que je ne boirais plus le vin jusqu’à ce que je sois avec le
Père au ciel à ma place désigné. J’ai dit que « je serai trahi par
l’un parmi vous et malheur à lui qui trahira le Fils de Dieu. » Ces paroles les ont pris au
dépourvu car ils ne pouvaient pas voir qui trahirait leur Maître, pourtant, à travers l’histoire, les
hommes m’ont trahi plus spécialement dans l’Eucharistie. Pendant que je
leur disais ces paroles de vie éternelle, je savais que les étapes de ma
souffrance et que ces paroles que j’avais dites étaient sur le point de se
dérouler afin que tous soient assis à ma table de banquet.
Les disciples croyaient que ce serait une nuit comme
toutes les autres puisqu’ils m’avaient Moi, Jésus
qui partageaient avec eux une plénitude d’amour que les hommes ne peuvent pas
comprendre. Car cela mon enfant, ces étapes du dernier repas, sont les
plus grand moyens donnés à toute l’humanité, car c’est Moi, Jésus qui me suit
moi-même donné entièrement pour que l’humanité ait le salut éternel.
Car l’Eucharistie, c’est le moyen dans lequel je viens à
l’intérieur de l’âme et où j’habite complètement! Et priver l’âme de
l’Eucharistie c’est priver le corps d’oxygène, car je suis Jésus. Je suis
le Chemin, la Vérité et la Vie, je suis la Divine Miséricorde. »
Les étapes de la Passion de Jésus expliquées par Jésus à Jennifer (26 sept. 2006)
Les étapes de la Passion de Jésus expliquées par Jésus à Jennifer (26 sept. 2006)
« Mon enfant, pendant que
j’errais dans le jardin, mon âme fut à nouveau inondée d’immenses
souffrances. Je savais que mon sort s’en venait, en plus de la souffrance
que j’ai endurée à la vue de toutes et chacune des âmes qui me rejetteraient tout
au cours du temps.
Mon enfant, j’ai sué tellement
de sang et de plus chaque goutte de sang représente toutes et chacune des âmes
qui ont déjà marché sur la surface de la terre. J’ai vu à l’intérieur de
la coupe :
Chaque âme qui me renierait;
Chaque âme qui tuerait, qui commettrait l’avortement, qui adorerait l’argent, qui adorerait le pouvoir;
Chaque âme qui souffrirait à cause de l’injustice de son prochain;
Chaque famille qui serait divisée;
Chaque prêtre qui se détournerait à cause de ses propres désirs égoïstes.
Chaque âme qui tuerait, qui commettrait l’avortement, qui adorerait l’argent, qui adorerait le pouvoir;
Chaque âme qui souffrirait à cause de l’injustice de son prochain;
Chaque famille qui serait divisée;
Chaque prêtre qui se détournerait à cause de ses propres désirs égoïstes.
Tout ce que vous voyez en ce monde aujourd’hui, et ce qui
est à venir, je l’ai vu
devant moi dans le calice. Oh ! comme le sang coulerait de ma tête et
encore plus de mon Très Saint Sacré Cœur, car je savais qu’un petit nombre
serait sauvé. J’ai imploré mon Père car je savais que c’était sa volonté,
cependant dans ma forme humaine, je savais que la souffrance serait immense.
À chaque fois que les soldats romains me fouettaient
durant ma flagellation, je pouvais encore voir le visage des âmes qui me
flagelleraient tout au long de l’histoire. Pendant que je revenais vers
les disciples, je pouvais les voir dormir. J’ai
supplié : « Ne pouvez-vous pas veiller une heure avec
moi? » Je pouvais voir, comment tout au
cours de l’histoire, ceux qui dormiraient devant les souffrances de leur
Maître; ceux qui dorment dans leur foi, leur amour et leur dévotion
envers moi. Il s’endorment sur la vérité et sans moi, l’homme ne peut pas
voir la vérité.
Mais je savais que les disciples n’en
tenaient pas compte et que je souffrirais seul.
Je pouvais voir ceux qui se détourneraient, car leur âme
étaient consumées de tellement de mal, que je voulais repousser ces âmes. Je pouvais voir les tièdes et c’était
les âmes qui m’ont causé ma plus grande souffrance. Elles sont les âmes
qui ont la pleine connaissance de ma présence mais qui se détournent à cause de
leur propre orgueil; ces âmes qui croient avoir la capacité de pacifier
leur Maître mais dont les prières n’ont pas de mérite à cause de leurs cœurs orgueilleux.
Le démon m’est apparu et à nouveau le sang s’est mis à
couler, car à l’intérieur du calice, je ne pouvais pas voir le mérite pour
lequel j’avais dû souffrir pour chaque âme et qui je savais se
détournerait pour toute l’éternité.
Mon agonie dans le jardin fut la plus grande souffrance
que j’ai endurée durant toute ma passion. Donc j’ai recommencé à prier
car je savais que seul mon Père pourrait me donner la force et de plus que les
anges aussi me réconforteraient. Je savais que c’était une souffrance qui
devait être endurée.
Je pouvais encore voir dans le calice et ce qui a suivi
fut une force profonde qui m’a permis de chasser Satan et ses tentations, car
il savait que ma passion réclamerait toutes les âmes qu’il avait prises.
Cette force fut celle des âmes qui viendraient et me réconforteraient pendant
toute l’éternité, les âmes qui n’avaient que la pureté du cœur, les âmes qui
reconnaîtraient leurs faiblesses mais qui faisaient confiance à ma miséricorde
et à ma divine volonté.
Ensuite les soldats romains sont venus pour moi. Les disciples furent pris au
dépourvu même si je les avais préparés avec mes paroles d’avertissement. Ils n’ont pas vu que mon temps sur
cette terre expirait rapidement, car je fus envoyé ici en mission et ma mission
devait bientôt s’accomplir. J’ai vu devant moi celui qui bientôt
rencontrerait également son destin, celui qui en représentait un grand nombre
pour suivre qui me rejetterait au cours de l’histoire pour de faux dieux et
l’argent.
Quand je fus approché par celui qui me trahissait, je pouvais voir le mal qui l’avait
consumé. J’ai parlé et j’ai dit; « Judas, pourquoi
trahis-tu ton Maître avec un baiser? » La lumière, mon enfant, a
brillé dans l’obscurité qui avait consumé son âme. Je n’ai dit aucune
parole, car ils ont sommé et demandé celui qui clamait être le vrai
Messie. J’ai entendu les paroles, « Le soit disant choisi » et
après ces paroles un grand rire a suivi.
Il n’y avait pas de paroles que je pouvais dire face aux
idéologies de ceux qui étaient envoyés pour me réclamer. L’un après
l’autre ils se relayaient pour battre mon visage, mon dos. Mes mains
n’étaient pas libres mais déjà je savais que c’était mon destin et que cette
torture du corps que je devais traverser ne supprimait pas l’agonie que
j’avais à affronter dans mon âme.
Pendant
que je regardais ces soldats qui croyaient que j’étais le fou parmi eux, eux
suivaient les ordres qui leur avaient été donnés de faire taire celui qui, à
tour de rôle, les rendraient silencieux. Il y a eu plusieurs
moments où j’ai senti que je n’avais pas de force, car le démon m’avait dit qu’un seul
homme ne pouvait pas sauver le monde entier, cependant le plan divin se
déroulait à chaque étape où j’ai dû souffrir.
J’ai dû abandonner complètement ma volonté à mon Père,
car si je n’avais pas souffert dans le jardin, je n’aurais pas eu la force de
supporter tout ce qui devait suivre. Je fus amené dans la cour intérieure
où plusieurs des grands-prêtres étaient réunis. Pendant que je me
trouvais là, j’ai vu les visages de ceux que j’avais vus dans le calice.
Je connaissais l’état des âmes de tous et chacun d’eux, de leurs enfants, de
leurs mères et pères.
Pendant qu’ils me questionnaient
je n’ai prononcé aucune parole, je n’ai répondu que de petites phrases, car
encore là, c’était le seul moyen par lequel le salut pouvait venir pour
l’humanité. L’un après l’autre, ils se relayaient pour cracher sur moi et
pourtant mon cœur était envahi d’un amour profond même au milieu d’un total
rejet.
Pendant que je me tenais là, quatre
soldats m’ont agrippé et m’ont reconduit hors de la cour pour se rendre devant
Pilate. Mon corps s’affaiblissait et mon esprit se fatiguait de ce que je
savais qui s’en venait. Pendant que je marchais, j’ai vu le visage de
celui qui me renierait trois fois. Son visage avait l’air perdu car il
voyait se dérouler les paroles que je lui avais dites. Je l’ai fixé et
mon cœur fut à nouveau envahi d’un amour profond pour la mission que Pierre
s’apprêtait à accomplir. Je fus à nouveau entouré d’une profonde paix à
la vue de ma Mère.
Je ne pouvais que lui offrir
les yeux de l’amour, car dans son cœur elle savait que je devais faire face à
la plus grande agonie qu’un être humain pouvait aller et endurer. Ma Mère
souffrait pour chaque enfant qui serait rejeté, plus particulièrement dans le
sein. Elle pouvait voir comment moi seul, par ma divine miséricorde,
pouvait empêcher une âme d’être perdue pour toujours. Je savais que
ce n’était que par ma miséricorde que l’éternel salut pouvait être accordé à
l’humanité.
Devant Pilate
Pendant qu’on me conduisait à Pilate, la foule de gens
grossissait et grossissait. Au moment où on m’a conduit dans cette pièce
au-dessus de la cour intérieure, il se tenait là…Pilate…comme un empereur à
son trône. Il m’a questionné mais encore là, je n’ai pas répondu par
des paroles, mais par des paroles de vérité. Je ne pouvais pas raisonner avec
lui qui ne voyait pas de raison pour me persécuter.
Je souffrais pour tous les faux
jugements dans le monde. Ceux qui cherchent à trouver des raisons pour
taire la vérité et d’ailleurs ce qu’ils ne savaient pas c’était que la vérité
l’emportait, car le Fils de Dieu ne peut jamais être réduit au silence.
Devant Hérode
Je fus encore agrippé par les soldats romains et on m’a
dit, sur l’ordre de Pilate, d’aller chez Hérode. Alors qu’on me
conduisait à l’endroit où se trouvait Hérode,
j’ai de nouveau rencontré le démon en raison des activités mauvaises
d’Hérode. Il m’a adressé la parole mais par mon silence je les ai
déboutés, tandis que je pouvais de nouveau voir le calice débordant des âmes
qui me rejetteraient purement et simplement par la consommation du mal.
Pendant que je me tenais devant
Hérode, la pièce dans laquelle il se trouvait était remplie des autres qui
étaient devenus assujettis à ce mal. J’ai vu devant moi le total rejet de
mes commandements, tous et chacun d’eux, et combien pendant toute l’éternité
suivraient ces mêmes traces.
Puis je fus ramené devant Pilate
Puis je fus ramené devant Pilate qui m’a amené devant la
foule qui s’était rassemblée. Pendant que je me tenais là, j’ai regardé
mon peuple qui criait pour que je sois crucifié et je fus inondé d’un grand
amour pour lui, pour toute l’humanité. Même si les hommes ne l’ont pas
vu, leur rejet envers moi est devenu leur moyen de salut. Leur rejet de
mes paroles, de mes mains, de mon amour, est devenu leur but qui les
justifiaient de me mettre à mort. Cependant, comme Pilate, celui qui se
tenait devant eux, tour à tour, ils se tiendraient devant moi lors du jugement.
Barabbas
Mon amour pour eux débordait comme la lave du sommet
d’une montagne. Pendant que les soldats libéraient Barabbas, je fus ensuite amené
pour faire face au moment de la flagellation.
Pendant qu’ils m’attachaient au pilier, j’ai commencé à voir le visage de ma Mère, ceci m’a donné une force inégalable face à la torture qui était sur le point d’avoir lieu. J’ai commencé à prier mais mes prières ne m’ont apporté aucun réconfort, car je me sentais abandonné au milieu des hommes. Ils ont commencé à me fouetter puisque je pouvais sentir les morceaux de chair se déchirer. Et pendant qu’ils brandissaient le fouet, l’un après l’autre, je pouvais sentir le fouet revenir sur mes blessures ouvertes. Lorsqu’ils s’arrêtèrent, sur l’ordre du soldat en chef, ils m’ont détaché du pilier, placé le roseau d’épines sur ma têtes et ont dit : « Que j’étais couronné comme un roi ».
Pendant qu’ils m’attachaient au pilier, j’ai commencé à voir le visage de ma Mère, ceci m’a donné une force inégalable face à la torture qui était sur le point d’avoir lieu. J’ai commencé à prier mais mes prières ne m’ont apporté aucun réconfort, car je me sentais abandonné au milieu des hommes. Ils ont commencé à me fouetter puisque je pouvais sentir les morceaux de chair se déchirer. Et pendant qu’ils brandissaient le fouet, l’un après l’autre, je pouvais sentir le fouet revenir sur mes blessures ouvertes. Lorsqu’ils s’arrêtèrent, sur l’ordre du soldat en chef, ils m’ont détaché du pilier, placé le roseau d’épines sur ma têtes et ont dit : « Que j’étais couronné comme un roi ».
Quand ils m’ont remis la robe,
je fus envahi d’une telle douleur que le seul moyen de consolation que j’avais,
c’était les âmes qui je savais demeureraient fidèles. Les âmes qui
verraient ma réelle présence dans le tabernacle. Les âmes qui
témoigneraient de mes paroles dans le monde et qui accepteraient de tout
sacrifier pour moi.
Durant ma flagellation, la plus
grande agonie ne fut pas les continuels coups à ma chair, c’était les visages
de plusieurs de mes fils prêtres qui me transperceraient, me flagelleraient,
par leur manque de dévouement à leurs vocations, par leur manque à chercher à
rapprocher les âmes de moi. Tellement de mes gens ont été induits en
erreur par certains de mes fils choisis, car ma miséricorde est ouverte à tous
ceux qui la cherchent.
Pendant qu’on me ramenait à Pilate, je pouvais sentir le
sang qui coulait de ma tête. Les blessures étaient si profondes que le
vent les perçait comme du sel pressé dans une blessure ouverte. Pilate
m’a parlé, mais même avec la vérité qu’il connaissait, il s’en est détourné
afin de plaire à ses semblables.
Il a dit : « Ne
vois-tu pas que j’ai le pouvoir de te libérer? » Pendant que je levais
les yeux vers lui, le sang coulant de mon visage, j’ai fait des efforts pour
ouvrir mon seul œil et j’ai dit : « Tu n’as aucun pouvoir sur
moi, à moins qu’il ne t’ait été donné d’en haut ». Pendant qu’il
recevait mes paroles, ses yeux m’ont transpercé et il a ordonné mon
crucifiement.
(...) placé sur mon dos une poutre de bois qui était mon poteau de mort.
Les soldats m’ont amené plus loin et ont placé sur mon
dos une poutre de bois qui était mon poteau de mort. Pendant que je me déplaçais dans
les rues avec la lourde poutre de bois,j’ai senti que mon corps ne pouvait
en donner davantage. Je souffrais dans mon âme au son des voix que
j’entendais venir de la foule. Ce n’était pas des
acclamations de victoire, mais plutôt des acclamations d’une exécution injuste.
Mes genoux
commencèrent à trembler car je sentais ma force se dissiper et je suis tombé
sur les pierres de la rue. C’était
la première des trois fois où je tomberais. Alors que je me relevais,
j’ai senti que mon corps ne pouvait pas en donner davantage. Je pouvais entendre la foule
rire et pourtant dans le rire, il me fut donné une force intérieure dans mon âme pour
continuer, car je voyais à l’intérieur du calice les besoins de mon peuple pour
ma miséricorde.
Ils étaient peu nombreux parmi
eux à m’avoir apporté consolation. J’ai imploré mon Père et puis, alors
que je levais les yeux, j’ai vu ma Mère et mon cœur commença à se réjouir, car
en un instant, je me suis souvenu, par la vue de ma Mère, comment cette
souffrance doit être endurée. Je pouvais entendre un des soldats sommer
un homme de la foule, mais il ne cherchait pas à m’aider avec un cœur
ouvert. Il pouvait voir que je tremblais, mais à cause de la foule, il ne
voulait pas qu’on sache qu’il aidait le Fils de Dieu.
Un simple linge dans la main de
quelqu’un devint une empreinte de ma miséricorde
Le sang et
la sueur commencèrent à recouvrir mon visage et je ne pouvais pas voir car mes
yeux commençaient à enfler suite aux coups que j’avais subis.
Une femme est venue vers moi et a offert d’essuyer mon
visage du sang et de la sueur. Mais, ce qu’elle ne savait pas, c’était que sa
bonté m’a apporté une profonde consolation, car ce n’était pas son empressement
à essuyer mon visage, mais sa foi, sachant que mon crucifiement était son moyen
de salut. Un simple linge dans la main de quelqu’un devint une empreinte
de ma miséricorde et de réelle présence pour toute l’humanité. La croix
est encore insupportable, car même celui qui a été choisi pour m’aider se
fatiguait et réalisait que c’est une souffrance sans précédent.
Je pouvais entendre Simon qui luttait, non seulement
physiquement mais aussi intérieurement, avec ce que son âme lui disait.
J’ai tombé une deuxième fois car cette croix était grande et de plus, la foule
me rappelait comment je devais continuer afin que ma miséricorde soit
répandue. Alors que je retrouvais ma force et que je continuais, une
femme m’a parlé avec ses larmes… »Ma fille, ma fille, ne pleure pas sur
moi mais pleure plutôt sur toi-même et sur tes enfants, car je serai bientôt
avec mon Père. »
Je pouvais voir tellement de
larmes, des larmes de tristesse pour ce qui m’arrivait, et pourtant si
seulement ils avaient su ce qui leur serait arrivé si je n’avais pas assujetti
mon corps et mon âme à cette souffrance. Tandis que je continuais à
marcher vers le calvaire, la douleur dans mon côté est descendu dans mes jambes
et mes pieds et je suis tombé une troisième fois. Les soldats
continuaient de me crier de me relever mais je n’ai pas tenu compte de leurs
paroles et j’ai continué en silence. Lorsque j’eus atteint le sommet, on
m’a immédiatement enlevé ma robe et mis sur la croix que j’avais portée.
Mes yeux étaient gonflés mais je pouvais voir le calice de toutes les offenses
avec lesquelles l’humanité me transpercerait.
Mes bras étaient bien attachés avec une corde pour que je
ne bouge pas pendant que les clous étaient plantés dans mes mains et mes
pieds. Je pouvais voir les cœurs orgueilleux de plusieurs des
soldats. Leur mission en était une d’exécution.
Plus ils en exécutaient, plus grande était la mission
qu’ils croyaient accomplir pour l’humanité. Ils croyaient qu’ils
apportaient au monde la justice en me mettant à mort, mais tour à tour, ma mort
donnait au monde la miséricorde. Pendant qu’un soldat venait à ma droite,
un autre venait à ma gauche et un à mes pieds, ils commencèrent simultanément à
planter les clous dans mes mains et mes pieds.
J’ai senti que mon corps commençait les étapes pour
expirer. À chaque fois qu’ils
enfonçaient les clous, je pouvais voir le nombre de fois où les âmes tièdes
négligeraient de reconnaître ma réelle présence dans le tabernacle. Le
nombre de fois où mon peuple négligerait de venir à la messe, négligerait de
nettoyer son âme et de s’ouvrir à ma miséricorde. Puis, j’ai senti une
immense douleur pendant que les soldats commencèrent à lever la croix et la
placer dans un trou qui avait été creusé.
Le haut du crucifix sur lequel j’étais suspendu était
fixé à une poutre qui me reliait aux autres qui étaient mis à mort pour leurs
crimes.
Pendant que la foule au-dessous continuait de crier des
blasphèmes contre moi, j’ai parlé à mon Père et j’ai dit : « Père, pardonnez-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font ». Et au moment où je
disais ces paroles, je pouvais voir devant moi dans le calice, les trois
offenses qui me transperceraient grandement.
Je pouvais voir mon peuple vénérant la croix sans la
présence de mon corps, car la
croix ce n’est pas le moyen de miséricorde pour l’humanité, mais c’est plutôt
celui qui a donné sa vie, car je suis Jésus. J’ai pu voir alors
devant moi, beaucoup de mes fils choisis qui négligeraient de reconnaître le
jour de fête de ma Divine Miséricorde et ses nombreuses promesses. Je
pouvais voir devant moi mes petits qui feraient face à leur crucifiement dans
le sein.
Un des criminels parla et me dit
Alors que je baissais les yeux sur la foule rassemblé,
j’ai vu ma Mère. Ses yeux étaient remplis de souffrances qui ne
traduisaient que l’agonie qu’elle subissait dans son âme. Un des
criminels parla et me dit : « Si tu es qui tu dis que tu es,
alors sauve-toi toi-même; descends de la croix. » « Ne
vois-tu pas qui il est? » dit l’autre criminel. « Nous méritons le châtiment pour nos crimes, mais Lui il n’a rien
fait de mal »
Il s’est alors tourné vers moi
et a dit : « Jésus, te rappelleras-tu de moi quand tu arriveras
dans ton Royaume? » Tandis que je faisais des efforts pour parler,
je lui ai dit : « Mon fils, aujourd’hui même tu seras avec moi
au paradis » Jean et Marie-Madeleine étaient parmi ceux qui
s’étaient rassemblés. Je pouvais les voir qui cherchaient à consoler ma
Mère alors qu’elle regardait le monde rejeter son Fils, car elle savait que ma
mission était grande.
J’ai regardé Jean et j’ai
dit : « Mon fils, voici ta Mère » car elle quittait une
mission et s’en allait dans une autre en tant que la Mère de tous.
L’obscurité s’installait puisque je savais que mon corps était sur le point
d’expirer.
J’ai prononcé mes dernières paroles et mon esprit s’en est allé
réclamer les âmes perdues qui étaient parties avant moi. Car j’avais vaincu le péché et la mort
et je suis allé pour être avec mon Père au paradis, car aujourd’hui, la divine miséricorde était donnée au monde.
Et, mon enfant, elle expirera bientôt, car je
suis Jésus et tout sera fait selon ma volonté.
Niciun comentariu:
Trimiteți un comentariu