Rencontre d’amour avec l’Agir de Dieu..par son instrument,la Fille du Oui à Jésus (Québec-Canada)*Message de Maman Marie du 1er Mars 2015 *Ne regardez pas votre prochain, regardez-vous, et faites ce que vous avez à faire. Vous êtes en colère? Entrez en vous et regardez votre vie.Cet enseignement est aussi en vidéo*; Myriamir 22 noiembrie 2015

Rencontre d’amour avec l’Agir de Dieu..par son instrument,la Fille du Oui à Jésus (Québec-Canada)*Message de Maman Marie du 1er Mars 2015 *Ne regardez pas votre prochain, regardez-vous, et faites ce que vous avez à faire. Vous êtes en colère? Entrez en vous et regardez votre vie.Cet enseignement est aussi en vidéo*; Myriamir 22 noiembrie 2015

Le texte de cette vidéo se trouve un peu plus bas

( video ) https://www.youtube.com/watch?v=Gsj8jp6pm4Q#action=share

Maman parle de ce qui est

en les enfants qui souffrent !

Maman Marie : Il y a bien longtemps, sur le bord d’un lac, deux petites grenouilles étaient ensemble. Lorsque l’une d’elles fit un bond vers l’eau, l’autre demeura seule sur le bord de ce lac. Le soir, elle se mettait à faire des sons et ce qu’elle recevait, c’était l’écho de ses sons. Où était celle qui l’accompagnait? Elle, elle ne le savait pas. Elle avait beau émettre des sons, il n’y avait que ses sons qui lui revenaient. Un jour, elle s’est tue. Elle se dit : ‘Cela ne sert plus à rien, on ne répond pas à mes sons.’

La petite grenouille qui était au fond du lac, elle, elle se dit : ‘Il fait noir ici. Où est celle qui m’accompagnait? Elle n’a pas fait de bond pour être avec moi?’ Mais non, elle était seule, de plus en plus seule. Elle ne réalisait pas que les jours avançaient, car elle ne voyait pas la lune et elle ne voyait pas le soleil, car elle était sous la vase, une vase si épaisse qu’elle ne pouvait plus bouger. Alors, elle s’arrêta de bouger et elle s’éteignit.

Mes tout petits enfants, Dieu vous a donné une vie éternelle et cette vie éternelle est alimentée par l’amour. L’amour nourrit votre vie éternelle. Vous avez besoin de l’amour, mes petits enfants, afin d’être des tout petits enfants heureux de vivre sur cette terre. La paix est en vous lorsqu’il y a de l’amour, la joie est en vous lorsqu’il y a de l’amour, et l’amour nourrit l’amour. Vous avez tout ce qu’il vous faut pour être sur la terre dans votre mission d’amour.

Quelle est votre mission, mes enfants? Oui, mes enfants, c’est l’amour, c’est vous découvrir tels que vous êtes. Vous devez être des enfants prêts à faire ce que vous avez à faire à chaque instant.

Ne regardez pas votre prochain, regardez-vous, et faites ce que vous avez à faire. Vous êtes en colère? Entrez en vous et regardez votre vie.

Demandez au Saint-Esprit de vous apporter des lumières. Regardez tout ce qu’il y a à l’intérieur de vous : vos pensées, vos regards, vos écoutes, vos paroles, vos actions et vos sentiments. Pourquoi cela est-il important, mes enfants? Pour que vous puissiez découvrir ce qui s’est passé et qui a fait défaut en vous.

Qu’est-ce qui a bien pu pénétrer en vous pour empoisonner vos pensées? Une mauvaise rencontre que vous avez acceptée? Un bruit qui s’est fait entendre et que vous ignoriez d’où cela venait et que cela a pénétré en vous? Une action extérieure qui vous a dérangés et que vous avez acceptée dans votre vie? Des paroles qui vous ont dérangés et qui étaient venues des autres personnes et que vous avez acceptées dans votre vie? Des sentiments qui vous ont frustrés?

Pour vous frustrer, mes enfants, il fallait que cela entre en vous; pour que vos paroles soient un manque d’abandon, il fallait que cela vous les acceptiez en vous; pour que vos écoutes soient incapables de se maintenir dans le calme, il fallait que cela soit en vous; pour que vos actions soient des actions incertaines, il fallait que cela soit en vous; pour que votre regard juge ce qu’il voit, il fallait que cela soit en vous; pour que vos pensées puissent vous amener à condamner ce qui est autour de vous, il fallait que cela soit en vous.

Petits enfants d’amour, vous avez manqué d’amour en vous. Ce qui était étranger à vous-mêmes, vous l’avez laissé pénétrer en vous et votre amour a perdu de la force.Vous avez besoin d’amour pour nourrir votre amour, cela est très important. Je suis votre Maman d’amour et votre Maman d’amour vous montre ce qui vous est nécessaire pour vous nourrir.

Lorsque j’ai regardé mon Fils se faire flageller, mon cœur de Maman pleurait.Mes actions semblaient être paralysées, mes enfants; mes paroles se taisaient tant il y avait de la souffrance devant moi; mon écoute captait ces coups de fouet, mes petits enfants, et mes pensées, ô mes pensées, elles allaient vers mon Fils.

Oui, je souffrais, mais c’était des souffrances d’amour. Mon amour était si grand : il nourrissait mon amour. Mon amour me donnait de la force, mon amour me donnait du soutien, mon amour me donnait de la compagnie, mon amour me donnait de la lumière, mon amour me donnait de la beauté.

Je voyais mon Fils, je voyais mon Dieu. Il construisait un monde d’amour avec son Sang. Je louais Dieu, je rendais grâce à Dieu. À travers ma souffrance, mes enfants, je remerciais Dieu. J’avais donné mon oui à l’Amour. Mon oui pénétrait le Oui de mon Fils et ils ne faisaient qu’un seul oui, car je vous voyais, je voyais le pourquoi de cette souffrance.

Vous, mes enfants, vous, avec vos actes de vie, vos actes de vie prenaient la couleur de l’amour, vos actes de vie prenaient l’écoute de l’amour, vos actes de vie prenaient le son de l’amour, vos actes de vie prenaient l’agir de l’amour, vos actes de vie pénétraient la pensée de l’amour, vos actes de vie ressentaient l’amour. Tout cela était en moi et Dieu me le montrait. Telle était ma joie. À travers ma souffrance, j’ai ressenti, mes enfants, la victoire sur votre souffrance.

Mes petits enfants, j’ai ressenti de la joie à travers ma souffrance, car ma souffrance était une souffrance d’amour. J’avais porté en mon sein virginal le Sauveur du monde. Tout de moi était l’amour. J’aimais qui j’étais : la Mère du divin Sauveur. Par ma parole, j’ai dit oui à Dieu. J’acceptais tout, j’étais comblée de grâces, j’avais en moi la puissance de l’amour, car j’avais vos oui.

Comprenez-vous, mes petits enfants? Aucun des enfants de Dieu ne manquait en moi. Bien qu’il y en ait qui ont dit non à mon Fils, j’ai porté en mon sein virginal l’amour, l’amour pour ces enfants. Je n’ai pas eu de souffrance qui a atteint mon oui. Leur refus n’a pas atteint mon oui, je les aimais inconditionnellement.

J’ai prié pour eux et je prie pour tous ceux qui refusent mon Fils. Je ne les regarde pas comme étant des enfants contre mon Fils, je les regarde avec mon amour de maman.

Lorsque vous regardez vos petits-enfants, vos enfants, vos frères et vos sœurs que vous aimez tendrement, alors qu’ils sont contre vos pensées, contre vos regards, contre vos écoutes, vos paroles, vos actions et vos sentiments, parce qu’ils ne pensent pas comme vous, parce qu’ils regardent ce que vous ne voulez pas regarder, parce qu’ils écoutent ce qui leur plaît, parce qu’ils disent des paroles qui sont contre eux, parce qu’ils font des gestes qui ne portent pas la saveur de l’amour et que leurs sentiments ne les amènent pas à aimer Dieu, à s’aimer et à aimer leur prochain, vous continuez à les aimer, n’est-ce pas, mes enfants? Et même si vous avez un amour conditionnel? Comprenez que mon amour est inconditionnel.

J’aime ces enfants. Voulez-vous les aimer, mes enfants? (R : Oui.) Vous me feriez très plaisir, car cela serait une bonne nourriture pour vous; cela va vous apprendre à vous aimer.Il est parfois difficile d’aimer quelqu’un qui gifle un tout petit enfant de deux ans, mais si vous aimez les enfants qui font du mal aux petits enfants, vous apprenez à vous aimer, parce que vous aimez ceux que j’aime : vous vous aidez et vous les aidez.

Ayez confiance en votre Maman du Ciel. C’est moi qui ai prié pour vous lorsque mon Fils se faisait crucifier. Je regardais mon Fils et mon regard rempli d’amour donnait du courage, du courage au bon larron comme au mauvais larron, du courage à ceux qui le regardaient et qui le jugeaient, lui, qui était attaché à la Croix alors qu’eux l’insultaient.

Je leur donnais du courage, non qu’ils continuent à faire souffrir mon Fils, mais pour qu’ils apprennent à s’aimer, car ils devaient eux aussi, mes petits enfants,regarder ce qu’ils avaient fait. Moi, je les aimais tellement que je ne voulais pas qu’ils se jugent sévèrement.

Voyez-vous, mes petits enfants, il faut penser à cela. Vous êtes ici sur la terre, non pour l’éternité. Vous devez tous, un jour, regarder ce que vous faites : passé, présent et futur, et tout s’accomplit devant vous.

Mes petits enfants, lorsque vous réalisez que vous êtes éternels et qu’ils sont éternels, vous voulez leur bonheur, n’est-ce pas, puisque vous voulez le bonheur des petits enfants qui se font frapper par eux? Vous voyez, mes enfants, comme c’est important de les aimer? Ils auront à prendre une décision et cette décision sera éternelle. Réalisez l’amour, l’amour qui doit vous nourrir, vous nourrir pour eux. Il est bon que vous vous aimiez. Vous êtes une nourriture d’amour.

Ô, mes petits enfants, cette petite grenouille qui était demeurée toute seule sur le bord du lac, c’est vous, mes enfants,  lorsque vous vous plaignez; c’est vous, mes enfants, qui écoutez le son de vos jérémiades; c’est vous, mes enfants, qui vous ressentez seuls; c’est vous, mes enfants, qui êtes dans la tristesse parce que vous manquez de compagnie; c’est vous, mes enfants, qui recherchez ceux que vous aimez; c’est vous, mes enfants, qui êtes aux prises avec vos propres souffrances; c’est vous, mes enfants, qui vous découragez; c’est vous, mes enfants, qui perdez l’espérance, la foi et l’amour.

Ô, mes petits enfants, vous n’êtes pas que celle qui est sur le bord du lac, vous êtes aussi celle qui est tombée dans le lac. Qui a fait que vous avez fait un bond? C’est que vous avez été nourris par la grenouille tout à côté de vous : le reflet de vous-mêmes, et cela vous a amenés à faire un bond. C’est comme si vous aviez été poussés, mes petits enfants, par la souffrance, et une fois, mes enfants, dans la noirceur, dans la profondeur de votre vie sur la terre, vous cherchez ce qui vous a amenés là. Vous regardez autour de vous et vous cherchez à vous consoler en écoutant le silence.

Lorsque vous écoutez le silence, vous vous sentez de plus en plus incompris; plus vous vous sentez incompris, mes petits enfants, et plus vous êtes incapables de regarder qu’il y a des sourires autour de vous. Vous ne comprenez plus votre vie, vous vous sentez si seuls, et plus vous vous sentez seuls, incompris, plus vous avez l’impression que vous ne trouverez pas le bonheur. Vous pénétrez dans vos souffrances. Vos souffrances vous amènent profondément en vous : prisonniers vous êtes à cause de vos souffrances.

Il vient un temps, mes enfants, où il n’y aura que de la souffrance. La joie, vous n’y croyez pas; la paix, il n’y en a plus; l’amour a disparu. Qu’est-ce qui demeure?Ce qui n’est pas, ce qui a fait de vous des êtres étrangers à vous-mêmes. L’enfant de Dieu, ce tout petit enfant est oublié. L’être que vous êtes : fort, capable de faire des efforts, n’est plus présent. Ô mes enfants! Votre vie est à vous, il faut en prendre soin.

Je vais vous demander quelque chose, mes enfants d’amour. Voulez-vous prendre la main de la personne qui est à droite et de la personne qui est à gauche, et que chacun puisse s’unir ensemble? Vous pouvez vous lever debout, mes enfants. Allez, réunissez-vous, ne faites qu’un. Êtes-vous bien liés ensemble, mes enfants? (R : Oui.)

Alors, je vais vous poser une question. Aimez-vous mon Fils? (R : Oui.)  Maintenant, très doucement, avec votre amour, avec celui de mon Fils, très doucement, est-ce que vous vous aimez? (R : …) Est-ce que vous croyez que vous vous aimez? (R : Oui.) Est-ce que vous êtes vivants avec votre amour? (R : Oui.)  Est-ce que vous croyez qu’à cet instant, il y a une puissance de vie qui s’accomplit dans votre vie? (R : Oui.) Maintenant, mes enfants, laissez tomber vos mains.

Maintenant, mes enfants, je vais vous poser une question. Aimez-vous mon Fils? (R : Oui.) Maintenant, mes enfants, je vais vous demander une autre question. Lorsque vous jugez votre prochain en ayant une pensée qu’il est dérangeant, est-ce que cela fait en sorte que vous vous aimez? (R : Non.) Maintenant, mes petits enfants, est-ce que vous avez été dans la puissance de vie? J’ai entendu des oui, eh bien, moi, je vous dis non.

Dans la puissance de vie, il y a l’amour. Est-ce que votre pensée était amour? (R : Non.) Mais je vais vous poser une autre question. Est-ce qu’il y a de la puissance? (R : …) Je vais vous aider. Mais oui, il y a de la puissance puisque vous avez la vie éternelle en vous, mais cette puissance va-t-elle servir l’amour, la vie éternelle? Mes enfants, je vais vous donner zéro sur dix. S’il n’y a pas de l’amour et qu’il y a une puissance, est-ce que cette puissance qui ne porte pas l’amour va servir l’amour, la vie éternelle? (R : Non.) Voilà! Maintenant, mes petits enfants, cette pensée est-elle capable de demeurer en vous seulement? (R : Non.) Eh bien, cela me fait plaisir de vous dire que vous avez dix sur dix.

Cela est vrai. Votre mauvaise pensée ne demeure pas inerte. Je vous ai dit qu’il y avait une puissance et que cette puissance prend votre pensée qui n’est pas amour, et elle va à droite de vous et elle va encore à droite de vous et encore et encore et encore jusqu’à ce qu’elle se trouve à gauche de vous, et une fois qu’elle est à gauche de vous, tout près de vous, est-ce qu’elle peut encore pénétrer en vous? (R : Oui.) Vous êtes des bons petits enfants! Vous avez compris la leçon. Il est vrai que lorsque vous avez une mauvaise pensée, tout le monde en est nourri et cela retourne à vous, et une fois qu’elle retourne à vous, qu’est-ce qu’elle fait? Elle vous nourrit à nouveau.

Maintenant, mes enfants, je vais demander à toutes les personnes qui ne portent pas de boucles d’oreilles de s’attacher à son prochain, et ceux qui portent des boucles d’oreilles, ne vous attachez pas.

Vous avez compris, mes petits enfants? Il n’y a seulement que les personnes qui ne portent pas de boucles d’oreilles qui vont toucher à son prochain. Maintenant, reprenons : il y a une mauvaise pensée, mes enfants, et elle est dans la puissance, et parce qu’elle est dans la puissance, elle va à droite; mais lorsqu’il y a une personne qui ne porte pas de boucles d’oreilles, elle passe par-dessus ou elle fait un détour : elle ne pénètre pas cette personne parce qu’elle est dans la paix, dans la joie et dans l’amour; et elle, elle se sait attachée à l’amour : elle aime son prochain tel qu’il est même s’il porte des boucles d’oreilles.

Et lorsque la pensée voyage et voyage, ainsi elle se retrouve à gauche de vous. Lorsque cette pensée vous pénètre à nouveau, pour ceux qui portent des boucles d’oreilles, il y a de la nourriture impure en vous, n’est-ce pas, qui nourrit à nouveau votre nourriture, mais elle est moins imposante; donc, elle a en elle quelque chose que les autres n’avaient pas : des enfants ont donné de la joie, des enfants ont donné de la paix et de l’amour, parce que moi, votre Maman d’amour, j’ai réuni tous ceux qui ne portaient pas de boucles d’oreilles et je les ai amenés à mon Fils. Il ne porte pas de boucles d’oreilles!

Voyez-vous, mes enfants, il a enveloppé leur amour avec son amour inconditionnel, et tous ceux qui portaient une boucle d’oreille ont reçu des guérisons.

Voyez-vous, mes petits enfants, ne soyez pas attristés parce que vous portez des boucles d’oreilles! Aimez-vous tels que vous êtes. Mon Fils a purifié vos oreilles, il les a enveloppées de son Précieux Sang d’amour. Maintenant, regardez vos oreilles, comme elles sont belles à travers votre boucle d’oreille!

Voyez-vous, mes petits enfants, votre guérison va vous aider à vous aimer tels que vous êtes. Vous ne regarderez pas votre voisin s’il porte des boucles d’oreilles ou non, vous allez vous regarder en premier, parce que vous allez vous trouver beaux, parce que vous saurez que Dieu vous regarde et qu’il vous aime tels que vous êtes parce qu’il a tout purifié.

Vous savez pourquoi? Parce que votre boucle d’oreille est faite de ce qui est extérieur à vous et ce qui est vous-même, c’est vous-même, c’est votre chair, et tout a été purifié. Ô mes petits enfants, Dieu vous aime tels que vous êtes, vous êtes créés à son Image. Vous pouvez vous asseoir, mes enfants.

Voyez-vous, mes petits enfants, Dieu a créé votre chair parfaite et il n’y a que Dieu qui va prendre soin de votre chair parfaite. Il m’a donné toutes grâces et je vous comble de toutes grâces, et chaque grâce, mes petits enfants d’amour, c’est l’amour. Je vous comble d’amour, je vous montre, mes enfants, à vous aimer devant Dieu qui vous aime tant.

Vous devenez une nourriture pour tous ceux qui ont besoin d’amour; eux ne savent pas qu’ils reçoivent des grâces d’amour. Ils ne réalisaient pas que lorsque vous priez, lorsque vous faites de bons actes de vie, je vous comble de grâces. Ils ont tant besoin d’une bonne nourriture.

Mes petits enfants, vous en avez tant besoin, car je commence par vous. C’est Dieu qui le veut ainsi. Vous avez tous été choisis, vous avez tous été préparés, et de par le monde vous êtes tous ensemble.

C’est moi qui lie votre cœur. Je suis la Reine des Cœurs. Là où j’apparais, mes enfants, j’unis. Il n’y a qu’un seul endroit : c’est mon Cœur qui enveloppe la terre. De mes rayons, il sort une puissance d’amour, car j’ai l’amour inconditionnel. Je vous aime, mes enfants. Aimez-vous Maman d’amour? (R : Oui.) Alors, vous avez compris votre petite leçon d’amour. Je vous aime. Il est important de vous préparer, mes enfants.

Maintenant, vous allez assister à un miracle. Mon Fils va vous apparaître. Quand vous regarderez l’Hostie, vous regarderez le Corps et le Sang de mon Fils. Avez-vous la foi, mes enfants? (R : Oui.) Eh bien, croyez, croyez que par le prêtre vous êtes devant mon Fils. Je vous aime, mes enfants.

Je vais demander à mes petits enfants qui ont reçu le don de la musique de bien venir jouer.

                                                                                                                   

Je te chante, Maranatha, Maranatha, mon Seigneur
Je te chante, Maranatha, Maranatha, mon Sauveur

Venez, crions de joie pour le Seigneur
Acclamez Dieu tout-puissant
Rendez grâce au Roi des rois
Acclamez son Nom

Site de La Fille du Oui à Jésus

www.lafilleduouiajesus.org

De nouveaux enseignements sont maintenant disponibles
dans la page « Enseignements à lire ». 

D’autres viendront sous peu.
N’hésitez pas à y revenir dans les prochains jours.

Plantagenet, Ontario, du 27 février au 1er mars 2015

Le 27 février, soir
Le 28 février, avant-midi
Le 28 février, après-midi
Le 28 février, soir
Le 1er mars, avant-midi

Sursa :

https://myriamir.wordpress.com/2015/11/22/rencontre-damour-avec-lagir-de-dieu-par-son-instrumentla-fille-du-oui-a-jesus-quebec-canadamessage-de-maman-marie-du-1er-mars-2015-ne-regardez-pas-votre-prochain-regardez-vous/