Scrisorile
mele de la Sœur/Sora Dominique, (invatatoarea mea de la Scoala Catolica ( 1972
– 1976 ) din Constantine, Algeria), si alte Maici/ Surori, si de la nepoatele
lui Sr Dominique de la manastirea din Gap, Franta, la Bucuresti, anul 1990 ( 7
)
“Anne-Marie Scotto
Paris
le 22 octobre 1990
Ma bien chère Olivia
J’ai bien reçu
vos lettres avec les photos et je vous en remercie bien sincèrement.
Si je ne vous
ai pas répondu plutôt, c’est que mes week-end étaient très occupés et je m’en
excuse.
J’avais un grand
appartement, je l’ai vendu et je louerai très bientôt un appartement plus
petit.
Surtout ne
vous faites pas de souci lorsque vous viendrez l’année prochaine j’aurai encore
grandement de place pour vous loger, ainsi que Monsieur Caius Dragomir.
Merci Olivia
pour les photos, que vous êtes mignonne.
Merci à Silviu
d’avoir souhaité [ souhaiter ] m’envoyer une photo.
Lorsqu’il sera
plus grand, il sera le bienvenu à Paris chez moi peut être avec vos chers
parents, je ne désespère pas de les recevoir.
Vous me
demandez comment est Paris en automne, c’est magnifique, le soleil qui est
encore très présent éclaire le feuillage doré, roux.
Vivement que
vous soyez près de moi pour que nous puissions nous promener le long de la
Seine ou en forêt pas très loin d’où je demeure.
La carte écrite de
Gap l’a été par ma sœur [ Marie-Thérèse ].
Celle-ci avait
été passer une semaine auprès de ma chère tante.
Je vous l’a [
la ] ferai connaître.
Comme mon
frère, elle aussi est pharmacienne.
Je crois que
lorsque vous serez à Paris nous aurons tellement de choses à faire qu’il faudra
prévoir au moins un mois de vacances.
Je vous envoie
une photo de moi prise cet été chez mon frère.
Mes cheveux ne
sont pas d’un blond naturels.
Le coiffeur a
teint mes cheveux blancs.
Je vais vous quitter
j’aurai tellement de choses à vous raconter sur ma famille, mon travail dans
une prochaine lettre ma chère Olivia.
Je vais
essayer de ne pas rester si longtemps pour vous écrire.
En attendant
la joie de vous connaître qui me paraît encore bien lointaine, je vous dis à
très bientôt dans une prochaine lettre.
Ne m’oubliez
pas auprès de vos chers parents, de Silviu et de votre ami Monsieur Caius
Dragomir et pour vous je vous embrasse bien affectueusement et je vous remercie
pour vos si gentilles lettres et pour votre amitié qui me devient très
précieuse.
Anne
Marie Scotto. «
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