Scrisorile mele de la Sœur/Sora Dominique, (invatatoarea mea de la Scoala Catolica ( 1972 – 1976 ) din Constantine, Algeria), si alte Maici/ Surori, si de la nepoatele lui Sr Dominique de la manastirea din Gap, Franta, la Bucuresti, anul 1990 ( 12 )

Scrisorile mele de la Sœur/Sora Dominique, (invatatoarea mea de la Scoala Catolica ( 1972 – 1976 ) din Constantine, Algeria), si alte Maici/ Surori, si de la nepoatele lui Sr Dominique de la manastirea din Gap, Franta, la Bucuresti, anul 1990 ( 12 )

“Anne-Marie Scotto

Doctrine Chrétienne

1, Place Ladoucette

05000 Gap ( France )

Gap le 30 Mai [ 1990 ]

Bien chère Olivia

Je suis la nièce de Sœur Dominique, j’habite Paris et je suis venue voir ma tante qui est un peu fatiguée ( 86 ans le 9 Août [ 1990 ] ).

Elle vous dit un grand merci pour toutes vos gentilles lettres.

Tous les jours, sa pensée et sa prière viennent vous rejoindre ainsi que vos chers parents dont elle a gardé un si bon souvenir.

L’examen approche, elle vous souhaite un beau succès et vous dit que le meilleur moyen de réussir, c’est de ne jamais se décourager, vous ferez aussi la joie de vos parents.

Elle a eu un immense chagrin de la mort de Corrinne, avec Mère Marie Lucie elles ont écrit à Mr et Mme [ Monsieur et Madame ] Resl en Allemagne mais elles n’ont pas eu de réponse, elles pensent qu’elles auraient dû écrire à Rhaunen d’après le faire part.

Très souvent elle prend les photos où vous êtes toutes, elles vous voient si petite fille et maintenant une belle grande jeune fille sur la photo qui lui a fait tant plaisir.

À Gap comme en Roumanie, le printemps revient tout est fleuri.

Chère Olivia si voulait [ si vous voulez ] venir à Paris je vous accueillerai de grand cœur je pourrai facilement vous loger même en compagnie de vos parents ou d’une amie.

Je m’appelle Anne Marie Scotto voici mon adresse

Madame Anne Marie Scotto

126, rue de Saint-Gratien

93800 Epinay-sur-Seine.

France. [ * adresa nu mai este valabila astazi, intrucat Anne Marie Scotto s-a mutat demult, mai intai s-a mutat la Enghien les Bains ]

Je vous laisse bien à regret ma tante et moi même nous vous embrassons de tout cœur aussi que toute votre famille. 

[ Anne Marie Scotto ] « 

Scrisorile mele de la Sœur/Sora Dominique, (invatatoarea mea de la Scoala Catolica ( 1972 – 1976 ) din Constantine, Algeria), si alte Maici/ Surori, si de la nepoatele lui Sr Dominique de la manastirea din Gap, Franta, la Bucuresti, anul 1990 ( 11 )

Scrisorile mele de la Sœur/Sora Dominique, (invatatoarea mea de la Scoala Catolica ( 1972 – 1976 ) din Constantine, Algeria), si alte Maici/ Surori, si de la nepoatele lui Sr Dominique de la manastirea din Gap, Franta, la Bucuresti, anul 1990 ( 11 )

“Sœur Dominique

Madame Sœur Dominique

Doctrine Chrétienne 1, Place Ladoucette

05000 Gap

Gap 5–11–[19]90 [ 5 Novembre 1990 ]

Bien chère Olivia

Je suis Sœur Octavie compagne amie de Sœur Dominique, qui ne pouvant pas écrire, me demande de le faire pour elle, et je vous écris sous sa dictée et cela me fait plaisir de lui rendre ce service.

Chère Olivia, c’est avec un bien retard très grand, que je réponds à votre gentille lettre du 18 Septembre.

Cependant tous les jours, ma pensée et ma prière viennent vous rejoindre avec vos chers Parents, dont j’ai gardé un si bon souvenir.

Ma Nièce, Marie Thérèse est restée huit jours avec moi et repartie à Paris où son mari et ses enfants l’attendaient.

Votre si belle carte lui a fait un grand plaisir, elle vous remercie et vous embrasse.

Vous devinez facilement combien les photos m’ont fait plaisir.

Souvent je regarde la photo, où vous êtes avec papa et maman et toute souriante vous tenez Silviu dans les bras, lui aussi souriant et maintenant c’est un grand garçon, aimant les mathématiques ce qui doit faire plaisir à votre cher papa.

Vous avez donc repris les classes, je vous souhaite une bonne année d’études couronnés de succès qui fera votre joie et celle de vos chers Parents.

À Gap, il fait beau, le froid est piquant, il y a un beau soleil aujourd’hui.

Vous trouverez ci-joint une photo où vous êtes avec votre chère Corrinne.

Sœur Marie qui est Supérieure et Sœur Renée, qui faisait chanter, elles ne sont pas à Gap, mais elles viennent de temps en temps et ne vous oublient pas.

Mère Marie-Lucie ne vous oublie pas non plus en ce moment elle est un peu fatiguée.

De tout cœur, nous vous embrassons sans oublier vos chers Parents avec Silviu.

Celle qui vous aime et prie pour vous.

Sœur Dominique. »

Scrisorile mele de la Sœur/Sora Dominique, (invatatoarea mea de la Scoala Catolica ( 1972 – 1976 ) din Constantine, Algeria), si alte Maici/ Surori, si de la nepoatele lui Sr Dominique de la manastirea din Gap, Franta, la Bucuresti, anul 1990 ( 10 )

Scrisorile mele de la Sœur/Sora Dominique, (invatatoarea mea de la Scoala Catolica ( 1972 – 1976 ) din Constantine, Algeria), si alte Maici/ Surori, si de la nepoatele lui Sr Dominique de la manastirea din Gap, Franta, la Bucuresti, anul 1990 ( 10 )

“Anne Marie Scotto

Enghien les Bains

Le 23 Mars [ 1991 ]

Ma bien chère Olivia

Je vous envoie les deux certificats d’hébergement signés par le Maire d’Enghien.

Je vous en souhaite une bonne réception et attends avec une grande impatience la date de votre arrivée.

À bientôt et ne m’oubliez pas auprès de tous les vôtres.

Anne Marie [ Scotto ] « 

Scrisorile mele de la Sœur/Sora Dominique, (invatatoarea mea de la Scoala Catolica ( 1972 – 1976 ) din Constantine, Algeria), si alte Maici/ Surori, si de la nepoatele lui Sr Dominique de la manastirea din Gap, Franta, la Bucuresti, anul 1990 ( 9 )

Scrisorile mele de la Sœur/Sora Dominique, (invatatoarea mea de la Scoala Catolica ( 1972 – 1976 ) din Constantine, Algeria), si alte Maici/ Surori, si de la nepoatele lui Sr Dominique de la manastirea din Gap, Franta, la Bucuresti, anul 1990 ( 9 )

« Anne Marie Scotto

Enghien [ les Bains ] le 19 février 1991

Ma bien chère petite Olivia

La vague de froid s’éloigne nous avons connu des températures de – 10^o , la neige, le verglas ont perturbé nous allées et venues.

Espérons et c’est à quoi je pense, aurons-nous un beau printemps pour accueillir ma chère petite Olivia.

Dites moi quand je devrai vous envoyer le certificat d’hébergement.

J’élabore déjà des plans pour que vous profitiez au maximum de votre séjour parmi nous.

Samedi matin en allant faire le marché je pensais est-ce qu’Olivia aimera ma cuisine ?

Dites bien à vos chers parents que tout d’abord je serai heureuse de les accueillir et qu’ils ne se fassent surtout pas de soucis pendant votre séjour vous serez ma fille je vous protégerai avec autant de soin alors ma petite Olivia à très très bientôt.

Je vous embrasse affectueusement, sans oublier vos chers parents et votre frère Silviu.

Anne Marie [ Scotto ] « 

Scrisorile mele de la Sœur/Sora Dominique, (invatatoarea mea de la Scoala Catolica ( 1972 – 1976 ) din Constantine, Algeria), si alte Maici/ Surori, si de la nepoatele lui Sr Dominique de la manastirea din Gap, Franta, la Bucuresti, anul 1990 ( 8 )

Scrisorile mele de la Sœur/Sora Dominique, (invatatoarea mea de la Scoala Catolica ( 1972 – 1976 ) din Constantine, Algeria), si alte Maici/ Surori, si de la nepoatele lui Sr Dominique de la manastirea din Gap, Franta, la Bucuresti, anul 1990 ( 8 )

“Anne Marie Scotto

..., rue du Général de Gaulle

95880 Enghien les Bains, France

Enghien les Bains 5 Janvier 1991

Ma bien chère Olivia

Je vous dois toutes mes excuses pour ne pas vous avoir écrit plutôt pour les fêtes de fin d’année.

J’ai eu beaucoup de travail à mon bureau, quelques petits ennuis de santé.

Mais pour moi ce n’est pas des excuses.

Je pense très souvent à vous et à votre famille, la Roumanie est très souvent évoquée à la télévision française et pour moi la Roumanie c’est vous et votre famille.

J’ai bien reçu vos deux lettres successives.

Pour votre venue à Paris, il n’y a aucuns changements de ma part.

Je me permettrai de vous suggérer de venir plutôt en Avril ou début Mai, les journées sont plus longues et le temps plus clément.

Les journées en ce moment sont pluvieuses, sombres et tristes, en Avril mai le soleil égaiera vos promenades.

Il faudrait peut être fixer une date afin que je puisse demander le ou les imprimés officiels.

Je crois que je vous l’avais dit mais j’ai déménagé, j’habite à Enghien les Bains une commune très agréable tout près de Paris.

Avec un lac, un casino et un établissement thermal.

Inutile de vous dire combien je suis heureuse à la pensée de vous accueillir.

Ma famille aussi, ma fille aîné Françoise a 2 garçons Thommy et Grégoire, vous connaîtrez aussi Michèle douce et compréhensive, quant à Christophe très travailleur a un caractère fort.

Voilà je suis sûre que vous vous plairez auprès de nous.

Je viens d’avoir au téléphone Sœur Dominique, je l’appelle tous les dimanches.

Je demande à Dieu de me la garder encore longtemps, longtemps.

Je vous quitte, pas par la pensée et non sans vous avoir souhaité pour 1991, une bonne et heureuse année dans la paix du Christ, santé, joies familiales et tous vos souhaits sans oublier vos chers parents que je salue respectueusement et votre frère ainsi que Monsieur Dragomir que peut être je n’aurai pas la joie de connaître.

Je vous embrasse bien bien affectueusement Chère Olivia à bientôt.

Anne Marie [ Scotto ]

Voici ma nouvelle adresse

..., rue du Général de Gaulle

95880 Enghien les Bains

Tél 34. --.--.46

Dites moi vite votre date d’arrivée il me reste encore 13 jours de vacances.

Je pourrai vous accompagner dans certaines de vos promenades. »

Scrisorile mele de la Sœur/Sora Dominique, (invatatoarea mea de la Scoala Catolica ( 1972 – 1976 ) din Constantine, Algeria), si alte Maici/ Surori, si de la nepoatele lui Sr Dominique de la manastirea din Gap, Franta, la Bucuresti, anul 1990 ( 7 )

Scrisorile mele de la Sœur/Sora Dominique, (invatatoarea mea de la Scoala Catolica ( 1972 – 1976 ) din Constantine, Algeria), si alte Maici/ Surori, si de la nepoatele lui Sr Dominique de la manastirea din Gap, Franta, la Bucuresti, anul 1990 ( 7 )

“Anne-Marie Scotto

Paris le 22 octobre 1990

Ma bien chère Olivia

J’ai bien reçu vos lettres avec les photos et je vous en remercie bien sincèrement.

Si je ne vous ai pas répondu plutôt, c’est que mes week-end étaient très occupés et je m’en excuse.

J’avais un grand appartement, je l’ai vendu et je louerai très bientôt un appartement plus petit.

Surtout ne vous faites pas de souci lorsque vous viendrez l’année prochaine j’aurai encore grandement de place pour vous loger, ainsi que Monsieur Caius Dragomir.

Merci Olivia pour les photos, que vous êtes mignonne.

Merci à Silviu d’avoir souhaité [ souhaiter ] m’envoyer une photo.

Lorsqu’il sera plus grand, il sera le bienvenu à Paris chez moi peut être avec vos chers parents, je ne désespère pas de les recevoir.

Vous me demandez comment est Paris en automne, c’est magnifique, le soleil qui est encore très présent éclaire le feuillage doré, roux.

Vivement que vous soyez près de moi pour que nous puissions nous promener le long de la Seine ou en forêt pas très loin d’où je demeure.

La carte écrite de Gap l’a été par ma sœur [ Marie-Thérèse ].

Celle-ci avait été passer une semaine auprès de ma chère tante.

Je vous l’a [ la ] ferai connaître.

Comme mon frère, elle aussi est pharmacienne.

Je crois que lorsque vous serez à Paris nous aurons tellement de choses à faire qu’il faudra prévoir au moins un mois de vacances.

Je vous envoie une photo de moi prise cet été chez mon frère.

Mes cheveux ne sont pas d’un blond naturels.

Le coiffeur a teint mes cheveux blancs.

Je vais vous quitter j’aurai tellement de choses à vous raconter sur ma famille, mon travail dans une prochaine lettre ma chère Olivia.

Je vais essayer de ne pas rester si longtemps pour vous écrire.

En attendant la joie de vous connaître qui me paraît encore bien lointaine, je vous dis à très bientôt dans une prochaine lettre.

Ne m’oubliez pas auprès de vos chers parents, de Silviu et de votre ami Monsieur Caius Dragomir et pour vous je vous embrasse bien affectueusement et je vous remercie pour vos si gentilles lettres et pour votre amitié qui me devient très précieuse.

Anne Marie Scotto. « 

Scrisorile mele de la Sœur/Sora Dominique, (invatatoarea mea de la Scoala Catolica ( 1972 – 1976 ) din Constantine, Algeria), si alte Maici/ Surori, si de la nepoatele lui Sr Dominique de la manastirea din Gap, Franta, la Bucuresti, anul 1990 ( 6 )

Scrisorile mele de la Sœur/Sora Dominique, (invatatoarea mea de la Scoala Catolica ( 1972 – 1976 ) din Constantine, Algeria), si alte Maici/ Surori, si de la nepoatele lui Sr Dominique de la manastirea din Gap, Franta, la Bucuresti, anul 1990 ( 6 )

“Anne Marie Scotto

126, rue de Saint-Gratien

93800 Epinay sur Seine [ *aceasta adresa nu mai este valabila, caci Anne-Marie s-a mutat, si cred ca de multe, multe ori, de cand nu am mai vorbit cu ea ]

Thonon les Bains le 7 Août 1990 [ Scrisoare expediata din Thonon les Bains la 7 august 1990, Haute-Savoie, France ]

Bien chère Olivia

En vacances chez mon frère à Thonon je vous écris pour accuser réception de votre lettre du 12 Juillet et pour vous dire que ce sera pour moi et mes enfants une grande grande joie de vous accueillir ainsi que l’ami de votre père.

Dès mon retour à Paris je vous enverrai deux certificats d’hébergement.

Pour les obtenir cela ne posera aucun problème.

Vous pourrez rester le temps que vous voudrez.

J’ai deux filles qui habitent près de chez moi.

Donc aucun problème de logement.

Si vos chers parents veulent venir une autre année ce sera une joie pour moi de les accueillir.

Oui ma chère Olivia votre français est parfait.

J’avais d’ailleurs remarqué à la télévision lors des récents évènements de Roumanie combien de roumains parlaient bien notre langue.

Je sais aussi que je n’aurai pas de problème avec vous, cela n’était pas la peine de l’ écrire, votre attachement à ma chère tante témoigne de votre sincérité de cœur.

J’ai hâte de vous connaître, l’ami de votre père sera lui aussi le bienvenu.

Parle-t-il le français ?

Je pourrai mettre à votre disposition une chambre pour chacun.

Dès mon retour à Paris je vous enverrai donc les 2 fiches.

Mon frère pharmacien de son métier habite à Thonon les Bains, petite ville située au bord du lac Léman ( de Genève ).

Je suis donc venue me reposer.

Ce soir nous allons en Suisse ( 30 Kms de Thonon ) manger la fondue.

Voilà ma petite Olivia je vous quitte je voudrai tant que ma lettre vous parvienne rapidement.

Je vous embrasse bien affectueusement en attendant la joie de vous connaître, mais il me semble que je vous connais déjà depuis longtemps.

Sans oublier vos chers parents, votre ami,

Anne Marie [ Scotto ] « 

Scrisorile mele de la Sœur/Sora Dominique, (invatatoarea mea de la Scoala Catolica ( 1972 – 1976 ) din Constantine, Algeria), si alte Maici/ Surori, si de la nepoatele lui Sr Dominique de la manastirea din Gap, Franta, la Bucuresti, anul 1990 ( 5 )

Scrisorile mele de la Sœur/Sora Dominique, (invatatoarea mea de la Scoala Catolica ( 1972 – 1976 ) din Constantine, Algeria), si alte Maici/ Surori, si de la nepoatele lui Sr Dominique de la manastirea din Gap, Franta, la Bucuresti, anul 1990 ( 5 )

“Anne Marie Scotto

126, rue de Saint Gratien

93800 Epinay sur Seine [ *aceasta adresa nu mai este valabila, caci Anne-Marie s-a mutat, si cred ca de multe, multe ori, de cand nu am mai vorbit cu ea ]

Epinay le 17 Août 1990

Bien chère Olivia

Je vous écris ces quelques jours pour vous demander l’adresse exacte de Monsieur Caius Traian Dragomir.

Pour pouvoir vous envoyer les certificats d’hébergement il me faut les adresses exactes ou peut être je pourrai mettre la vôtre, je n’ai pas osé le faire sans votre consentement.

Me voilà de retour à Paris, après quelques rapides vacances, j’aime beaucoup mon frère et ma belle sœur.

Ma belle sœur prend des cours de Piano avec M^r [ Monsieur ] Dan Poenarü, refugié politique roumain depuis 7 ans à Genève en Suisse.

Nous avons parlé de vous, car Dan et toute sa famille ( son amie hollandaise et la fille de celle-ci ) sont venus passer la journée à Thonon ( ville où habite mon frère ).

Dès que je pourrai je vous enverrai une photo de toute ma famille.

En attendant la joie de vous lire, recevez chère Olivia, mes très sincères amitiés sans oublier votre ami et vos chers parents.

A bientôt de vous lire

Anne Marie Scotto « 

Scrisorile mele de la Sœur/Sora Dominique, (invatatoarea mea de la Scoala Catolica ( 1972 – 1976 ) din Constantine, Algeria), si alte Maici/ Surori, si de la nepoatele lui Sr Dominique de la manastirea din Gap, Franta, la Bucuresti, anul 1990 ( 4 )

Scrisorile mele de la Sœur/Sora Dominique, (invatatoarea mea de la Scoala Catolica ( 1972 – 1976 ) din Constantine, Algeria), si alte Maici/ Surori, si de la nepoatele lui Sr Dominique de la manastirea din Gap, Franta, la Bucuresti, anul 1990 ( 4 )

“Gap le 10 Septembre 1990

Bien chère Olivia

Je suis la nièce de Sœur Dominique et j’habite à Paris.

Je suis venue à Gap voir ma tante qui est fatiguée par son âge.

Elle vous prie de l’excuser de n’avoir pas pu répondre à votre si gentille lettre recommandée de même que Mère Marie Lucie qui est aussi fatiguée.

Cette lettre lui a procuré une très grande joie en repensant aux années bénies passées auprès de vous.

Elle en parle sans cesse en disant que c’était de merveilleux moments.

Toute la famille vous connaît en voyant vos photos.

Elle vous remercie de l’image représentant l’Athénée roumain où vous écoutez des concerts.

Elle espère que vous avez passé de bonnes vacances après une année couronnée de succès.

Elle aimerait tellement pouvoir correspondre avec vous mais elle ne peut commander ses mains qui tremblent.

Elle vous embrasse bien fort.

Elle adresse ses religieux sentiments à vos parents.

Elle espère avoir de vos bonnes nouvelles bientôt.

Marie Thérèse. »

Scrisorile mele de la Sœur/Sora Dominique, (invatatoarea mea de la Scoala Catolica ( 1972 – 1976 ) din Constantine, Algeria), si alte Maici/ Surori de la manastirea din Gap, Franta, la Bucuresti, anul 1990 ( 3 )

Scrisorile mele de la Sœur/Sora Dominique, (invatatoarea mea de la Scoala Catolica ( 1972 – 1976 ) din Constantine, Algeria), si alte Maici/ Surori de la manastirea din Gap, Franta, la Bucuresti, anul 1990 ( 3 )

“Gap 13 Janvier 1991

Bine chère Olivia

Votre carte de Noël m’est bien parvenue ainsi que celle que vous m’aviez adressée en novembre et qui m’avait causé beaucoup de joie.

Merci de vos vœux pour Noël et de bonne et nouvelle année 1991.

Par delà la tradition, je vous souhaite ce que Dieu sait ce qu’il y a de meilleur pour vous, vos parents et tous vos proches.

Je souhaite aussi à votre Pays qui nous est Cher que le projet de Dieu, Sa Volonté puisse S’exprimer pour le bonheur de tous les Roumains, car il est parfois difficile de croire que Dieu nous offre le meilleur quand les évènements semblent aller à l’encontre de ce que nous souhaitons le plus légitimement.

Je me réjouis  pour Silviu qu’il apprenne à chanter et surtout qu’il apprenne le français.

C’est important d’être bilingues et même trilingues.

Vous avez certainement contribué à l’orientation de l’étude du français mais vous voyez que chaque enfant a son point de vue, et ne coïncide pas toujours avec le nôtre.

Quel respect nous devons avoir envers les autres.

Dites à votre maman que je suis émue de son bon souvenir.

Moi aussi je conserve dans mon cœur tous ces souvenirs de Constantine.

J’ai transmis vos vœux à Mère Marie Lucie, mais nous avançons en âge et les petites infirmités des personnes âgées deviennent plus lourdes à porter.

Mais j’accepte volontiers cette Volonté du Seigneur, toutes ces petites souffrances qu’engendrent la dépendance pour que Jésus Notre Sauveur, soit davantage connu et aimé.

Oui Votre Maman a raison il y a un beau lac et même je voudrais dire de beaux lacs de montagne.

Mais celui qu’elle a vu est le plus conséquent, car il y a une centrale électrique qui fournit le courant électrique à d’autres départements français.

Je vois peu souvent Sœur Renée et Sœur Suzanne parce qu’elles sont placées dans d’autres maisons, mais nous avons assez souvent de leurs nouvelles.

Si vous saviez le désir que j’ai de vous revoir.

Souvent je regarde les photos avec quelle joie.

Vous avez grandi maintenant et peut-être je ne vous reconnaîtrais plus.

Mais par la pensée et le cœur, dans ma prière je dis vos noms au Seigneur.

Qu’Il vous garde et vous bénisse et que vous restiez les bien aimés de Dieu et de la Sainte Vierge Marie.

Moi aussi je vous embrasse avec grande tendresse, ainsi que votre chère Maman et Silviu pour qu’il devienne un homme raisonnable, juste et religieux.

De tout cœur avec vous ma chère Olivia.

Sr.Dominique » [ Madame Sœur Dominique, Doctrine Chrétienne, 1, Place Ladoucette, 05000 Gap, Hautes-Alpes, France ] »

Catherine de Sienne/ St Catherine of Sienne

Catherine de Sienne/ St Catherine of Sienne

Benoit XVI, audience générale du Mercredi 24 novembre 2010, Libreria Editrice Vaticana.

Je voudrais aujourd’hui vous parler d’une femme qui a eu un rôle éminent dans l’histoire de l’Eglise. Il s’agit de sainte Catherine de Sienne. Le siècle auquel elle vécut — le XIVème — fut une époque tourmentée pour la vie de l’Eglise et de tout le tissu social en Italie et en Europe. Toutefois, même dans les moments de grandes difficultés, le Seigneur ne cesse de bénir son peuple, suscitant des saints et des saintes qui secouent les esprits et les cœurs provoquant la conversion et le renouveau. Catherine est l’une de celles-ci et, aujourd’hui encore, elle nous parle et nous incite à marcher avec courage vers la sainteté pour être toujours plus pleinement disciples du Seigneur.

Née à Sienne, en 1347, au sein d’une famille très nombreuse, elle mourut dans sa ville natale en 1380. A l’âge de 16 ans, poussée par une vision de saint Dominique, elle entra dans le Tiers Ordre dominicain, dans la branche féminine dite des Mantellate. En demeurant dans sa famille, elle confirma le vœu de virginité qu’elle avait fait en privé alors qu’elle était encore adolescente, et se consacra à la prière, à la pénitence et aux œuvres de charité, surtout au bénéfice des malades.

Lorsque la renommée de sa sainteté se diffusa, elle fut protagoniste d’une intense activité de conseil spirituel à l’égard de toutes les catégories de personnes : nobles et hommes politiques, artistes et personnes du peuple, personnes consacrées, ecclésiastiques, y compris le Pape Grégoire XI qui à cette époque, résidait à Avignon, et que Catherine exhorta de façon énergique et efficace à revenir à Rome. Elle voyagea beaucoup pour solliciter la réforme intérieure de l’Eglise et pour favoriser la paix entre les Etats : c’est pour cette raison également, que le vénérable Jean-Paul II voulut la déclarer co-patronne de l’Europe : pour que le Vieux continent n’oublie jamais les racines chrétiennes qui sont à la base de son chemin et continue de puiser à l’Evangile les valeurs fondamentales qui assurent la justice et la concorde.

Catherine souffrit beaucoup, comme de nombreux saints. Certains pensèrent même qu’il fallait se méfier d’elle, au point qu’en 1374, six ans avant sa mort, le chapitre général des Dominicains la convoqua à Florence pour l’interroger. Il mirent à ses côtés un frère cultivé et humble, Raymond de Capoue, futur maître général de l’Ordre. Devenu son confesseur et également son « fils spirituel », il écrivit une première biographie complète de la sainte. Elle fut canonisée en 1461.

La doctrine de Catherine, qui apprit à lire au prix de nombreuses difficultés et à écrire à l’âge adulte, est contenue dans le Dialogue de la Divine Providence, ou Livre de la Divine Doctrine, chef d’œuvre de la littérature spirituelle, dans ses Lettres, et dans le recueil de Prières. Son enseignement contient une telle richesse qu’en 1970, le Serviteur de Dieu Paul VI, la déclara Docteur de l’Eglise, titre qui s’ajoutait à celui de co-patronne de la ville de Rome, par volonté du bienheureux Pie IX, et de patronne d’Italie, selon la décision du vénérable Pie XII.

Dans une vision qui ne s’effaça plus jamais du cœur et de l’esprit de Catherine, la Vierge la présenta à Jésus, qui lui donna un anneau splendide, en lui disant: « Moi, ton créateur et sauveur, je t’épouse dans la foi, que tu conserveras toujours pure jusqu’à ce que tu célèbres avec moi tes noces éternelles » (Raymond de Capoue, Sainte Catherine de Sienne, Legenda maior, n. 115, Sienne, 1998). Cet anneau ne demeura visible qu’à elle seule. Dans cet épisode extraordinaire, nous percevons le sens vital de la religiosité de Catherine et de toute spiritualité authentique : le christocentrisme. Le Christ est pour elle comme l’époux, avec lequel existe un rapport d’intimité, de communion et de fidélité; il est le bien-aimé au-delà de tout autre bien.

Cette union profonde avec le Seigneur est illustrée par un autre épisode de la vie de cette éminente mystique: l’échange du cœur. Selon Raymond de Capoue, qui transmit les confidences reçues de Catherine, le Seigneur Jésus lui apparut tenant dans la main un cœur humain rouge resplendissant, lui ouvrit la poitrine, l’y introduisit et dit : « Ma très chère petite fille, de même qu’un jour j’ai pris le cœur que tu m’offrais, voici à présent que je te donne le mien, et désormais, il prendra la place qu’occupait le tien » (ibid.). Catherine a vécu véritablement les paroles de saint Paul : « Ce n’est plus moi qui vis, mais le Christ qui vit en moi » (Ga 2, 20).

Comme la sainte de Sienne, chaque croyant ressent le besoin de s’uniformiser aux sentiments du Cœur du Christ pour aimer Dieu et son prochain, comme le Christ lui-même aime. Et nous pouvons tous laisser notre cœur se transformer et apprendre à aimer comme le Christ, dans une familiarité avec Lui nourrie par la prière, par la méditation sur la Parole de Dieu et par les Sacrements, en particulier en recevant fréquemment et avec dévotion la sainte communion. Catherine appartient elle aussi à ce groupe de saints eucharistiques, avec lesquels j’ai voulu conclure mon Exhortation apostolique Sacramentum caritatis (cf. n. 94). Chers frères et sœurs, l’Eucharistie est un don d’amour extraordinaire que Dieu nous renouvelle sans cesse pour nourrir notre chemin de foi, renforcer notre espérance, enflammer notre charité, pour nous rendre toujours plus semblables à Lui.

Autour d’une personnalité aussi forte et authentique commença à se constituer une véritable famille spirituelle. Il s’agissait de personnes fascinées par l’autorité morale de cette jeune femme dont la vie atteignait un niveau très élevé, et parfois impressionnées également par les phénomènes mystiques auxquels elles assistaient, comme les extases fréquentes. Beaucoup de gens se mirent à son service et considérèrent surtout comme un privilège d’être guidées spirituellement par Catherine. Ils l’appelaient « maman », car en tant que fils spirituels, ils puisaient en elle la nourriture de l’esprit.

Aujourd’hui aussi l’Eglise tire un grand bénéfice de l’exercice de la maternité spirituelle de nombreuses femmes, consacrées et laïques, qui nourrissent dans les âmes la pensée pour Dieu, qui renforcent la foi des personnes et qui orientent la vie chrétienne vers des sommets toujours plus élevés. « Je vous dis et je vous appelle mon fils — écrit Catherine en s’adressant à l’un de ses fils spirituels Giovanni Sabbatini —, dans la mesure où je vous mets au monde par des prières incessantes et mon désir auprès de Dieu, comme une mère met son fils au monde » (Recueil de lettres, Lettre n. 141: A dom Giovanni de’ Sabbatini). Elle avait l’habitude de s’adresser au frère dominicain Bartolomeo de Dominici par ces mots: « Bien-aimé et très cher frère et fils dans le doux Christ Jésus »

Un autre trait de la spiritualité de Catherine est lié au don des larmes. Celles-ci expriment une extrême et profonde sensibilité, la capacité à s’émouvoir et à éprouver de la tendresse. De nombreux saints ont eu le don des larmes, renouvelant l’émotion de Jésus lui-même, qui n’a pas retenu et caché ses pleurs devant le sépulcre de son ami Lazare et la douleur de Marie et de Marthe, et à la vue de Jérusalem, au cours de ses derniers jours terrestres. Selon Catherine, les larmes des saints se mélangent au Sang du Christ, dont elle a parlé avec un ton vibrant et des images symboliques très efficaces: « Rappelez-vous du Christ crucifié, Dieu et homme (…) Donnez-vous pour objet le Christ crucifié, cachez-vous dans les plaies du Christ crucifié, noyez-vous dans le sang du Christ crucifié » (Recueil de lettres, Lettre n. 21; À une personne que l’on ne nomme pas).

Nous pouvons ici comprendre pourquoi Catherine, bien que consciente des fautes humaines des prêtres, ait toujours éprouvé un très grand respect pour eux: ces derniers dispensent, à travers les sacrements et la Parole, la force salvifique du Sang du Christ. La sainte de Sienne a toujours invité les saints ministres, et également le Pape, qu’elle appelait « doux Christ de la terre », à être fidèles à leurs responsabilités, toujours et seulement animée par son amour profond et constant pour l’Eglise. Avant de mourir, elle dit: « Alors que je quitte mon corps, moi en vérité j’ai consommé et donné ma vie dans l’Eglise et pour la Sainte Eglise, ce qui m’est une grâce très particulière » (Raymond de Capoue, Sainte Catherine de Sienne, Legenda maior, n. 363).

Nous apprenons donc de sainte Catherine la science la plus sublime: connaître et aimer Jésus Christ et son Eglise. Dans le Dialogue de la Divine Providence celle-ci, à travers une image singulière, décrit le Christ comme un pont lancé entre le ciel et la terre. Celui-ci est formé de trois marches constituées par les pieds, par le côté et par la bouche de Jésus. En s’élevant grâce à ces marches, l’âme passe à travers les trois étapes de chaque voie de sanctification: le détachement du péché, la pratique de la vertu et de l’amour, l’union douce et affectueuse avec Dieu.

Chers frères et sœurs, apprenons de sainte Catherine à aimer avec courage, de manière intense et sincère, le Christ et l’Eglise. Faisons donc nôtres les paroles de sainte Catherine que nous lisons dans le Dialogue de la Divine Providence, en conclusion du chapitre qui parle du Christ-pont: « Par miséricorde, tu nous as lavés dans le Sang, par miséricorde, tu voulus converser avec les créatures. Ô fou d’amour ! Il ne t’a pas suffi de t’incarner, mais tu voulus aussi mourir ! (…) Ô miséricorde ! Mon cœur étouffe en pensant à toi : car où que je me tourne, je ne trouve que miséricorde » (chap. 30).

Notã :

« Comme le dit Jésus à Catherine de Sienne : « Tu est celle qui n’est pas, Je Suis celui qui Suis ». Quand on n’accepte pas son néant, on ne peut pas accepter l’Amour qui nous a tirés de lui. « Fais-toi capacité, continue le Christ en parlant à S. Catherine, et je me ferai torrent ». « 

*** **

Surse :

Ste Catherine de Sienne – Christus Web : Sommaire ; Figures de L’Eglise

17/09/2012 17:31:08 http://christus-web.com/catherine-de-sienne/

http://christus-web.com/la-situation-des-damnes-vue-par-le-pere-garrigues/

Despre Scoala Catolica “Doctrine Chrétienne” (1972–1976) din Constantine, Algeria, Ieslea ( La Crèche, The Crib ), Petit Jésus ( Pruncul Iisus ), Sœur Dominique, invatatoarea noastra, icoane si Biserica Maria Radna din Lipova, pe Facebook, sambata, 7 Iunie 2014

Despre Scoala Catolica “Doctrine Chrétienne” (1972–1976) din Constantine, Algeria, Ieslea ( La Crèche, The Crib ), Petit Jésus ( Pruncul Iisus ), Sœur Dominique, invatatoarea noastra, icoane si Biserica Maria Radna din Lipova, pe Facebook, sambata, 7 Iunie 2014

Olivia Maria Marcov                                   

Saturday, June 7, 2014 at 3:27 pm :

Continuare: Daca ar fi sa aduc o mica precizare : In anii aceia, demult, in Scoala Catolica Doctrina Crestina sau Doctrine Chrétienne, cand L-am vazut pe Petit Jésus [ Pruncusorul I(i)sus ] in Ieslea Sa, da, am stiut, mi-am spus ca El vrea sa ni Se descopere, am stiut, am inteles acest lucru. Dar, peste ani si ani, revazand, evocand acele amintiri, imi spun : "Da, si statea acolo linistit, oricine il vedea ( pentru prima data, primul, primul contact cu El ), ar fi putut spune "Uite ce copilas cuminte, cum tace si cum nu doreste nimic", pentru ca, se stie, nou-nascutii nu pot vorbi si atunci ei, de obicei, plang, ei plang pentru a arata ce doresc, ca doresc, ca au nevoie de ceva, de lapticul mamei lor, de atentia mamei, sa fie luati in brate, sa fie leganati, sa fie schimbati de scutece, etc.. Dar am inteles din prima clipa, cand am fost in Capela in ziua in care Sr Dominique ne-a aratat Ieslea sau La Crèche, ca Isus, Petit Jésus vrea, a vrut sa ni Se descopere. Sa aflam ca El existã. Sa Il vedem. Sa Il cunoastem. Adevarul este, cand se intampla asa, cand El, Isus, vrea sa Il cunosti, este pentru totdeauna, nu mai poti "pleca", nu Il mai poti uita niciodata. Nu ai cum. Din clipa aceea, este pentru Vesnicie. Este aceasta Intalnirea cea mai durabila, deosebita, sensibila, o Intalnire pentru Eternitate, pentru ca, odata Intalnit, El traieste in Tine. Si pe tine, pe poarta El, cu El, in El. In Inima Sa. Si daca stie ca ai nevoie mai mare de El, El vine dupa tine, vine negresit dupa tine, la propriu, concret.

Olivia Maria Marcov

5 minutes ago Saturday, June 7, 2014 at 3:11 pm :

Continuare: Imi plac icoanele, si cele mari, pe lemn, si cele micute si gingase, din hartie. Astfel, pe computer mi-am asezat cateva iconite mici : Icoana Bunei Vestiri, in care sunt Fecioara Maria si Sf.Arhanghel Gabriel care ii aduce Vestea cea Buna, Fecioarei Maria, este simpla, plastifiata, pe un fond verde, si am cumparat-o in anii facultatii de la Biserica Rusa de langa facultatea si universitatea noastra ( din str.Ion Ghica nr.9, sector 3, Bucuresti ), am aceeasi icoana, dar mai mare, de la Biserica Rusa, pe cea mica i-o dadusem fratelui meu dar am gasit ca el a asezat-o in Biblie si am luat-o de acolo pana la urma ( icoanele lui, el si le-a pus deoparte, desi printre ele, s-ar putea sa mai fie si vreo iconita de la mine ), apoi am iconita plastifiata a Sfintilor Arhangheli Mihail si Gavriil ( Gabriel ), intotdeauna mi-au placut Ingerii lui Dumnezeu, de cand eram mica, cand Sr Dominique ne-a vorbit despre Ingerul nostru Pazitor pe care il avem fiecare de la Dumnezeu si pe care il rog adesea, mai ales seara ce-i drept, fiecare om are un Inger Pazitor de la Dumnezeu asa incat il putem ruga si pe Ingerul Pazitor al unei persoane dragi, ca Ingerul Pazitor sa vegheze neincetat, cu dragoste si vigilent, asupra persoanei pentru care ne rugam, apoi am alte 2 icoane, le-a lasat pe masa fratele meu si le-am asezat eu langa computer, sa le am in fata ziua cand stau la calculator ( si pe FB ) pentru ca imi placeau foarte mult, Maica Domnului cu Pruncul Isus, JERUSALEM, adica "Ierusalima", este icoana Maicii Domnului, mare, aceea argintata, din Ierusalim si inca, a doua icoana este Icoana Maicii Domnului cu Pruncul Isus de la Manastirea Nãmãiesti ( ii tot vorbisem fratelui meu despre icoana facatoare de minuni, eu as fi vrut sa ajung la manastirea de la Namaiesti care este inspre Arges, pe undeva, in Romania ), aceasta este o icoana "moderna" ca aspect, ca realizare, in sensu ca se afla pe magnet, este toata magnetizata, deci se lipeste pe materiale care atrag magnetul ( pe computerul meu nu se lipeste ). Si, alaturi de toate aceste iconite frumoase, am iconita de la Sr Dominique, despre care am scris mai jos si pe care am descris-o cat de bine am putut, iconita Ieslei ( Cresei, de la Crèche, of the Crib ) cu Petit Jésus, asezat in sezut, in iesle si stand de vorba cu Ingerasii care ii aduc flori de crin albe si flori roz, si aceasta, de la Jerusalem "de la locurile Sfinte".

Continuare: Un fapt interesant este aceasta, eu l-am gasit interesant: Intr-o scrisoare pe care Sr Dominique i-a trimis-o mamei, nu am scrisorile, sunt la mama, sunt ale ei, mai demult insa, in liceu le citeam si am luat din unele din ele, iconitele sau cartile postale pe care Sr Dominique le aseza in plic, alaturi de scrisoarea ei pentru noi. Am in fata mea, mai multe iconite mici, le-am asezat pe computer, si una din ele este o iconita trimisa de Sr Dominique, pe o hartie putin de tot mai "tare", sau poate ca nu, fina, reprezinta IESLEA SAU CRESA ( The Crib ) ( La crèche ). Nu ma mira deloc, pentru ca Sr Dominique ne vorbise despre Isus, "copilul" Mariei si al lui Iosif, asa, intr-o prima etapa, cate putin, putin, cand ne aratase Vitraliul mare al capelei, de deasupra Sfantului Altar, cu Sfanta Familie : Isus, Maria, Iosif. Dupa aceea, dupa ce ne-a vorbit despre Isus, ne-a dus sa vedem Ieslea, La Crèche sau The Crib, sau Cresa inca, si prin urmare, asa ni s-a dezvaluit noua Isus cel mai concret cu putinta, Le Petit Jésus, un bebelus mic, mic, frumos cum nu mai vazusem, si care statea acolo, asa de cuminte si fara sa spuna, sa ceara, sa doreasca nimic. In fapt, imi spun eu, mi-am spus eu peste ani si ani, Isus ne dorea pe noi, din moment ce ne-a adus in fata Lui, pe noi, niste fete din tarile Europei de Est, tocmai in Constantine, in Algeria, in Africa adica pe alt continent !!!! Pot spune ca a fost reciproc. Despre impresia mea de atunci, primul "contact" - vizual desigur - cu Isus, cu Le petit Jésus nu am scris inca niciodata complet, dar totusi am scris cand am simtit puternic acest impuls, nu foarte demult s-a intamplat aceasta. Si pentru prima data. Dar, sa revin la Iconita din Scrisoarea pe care Sr Dominique ne-a trimis-o inainte de 1989, intr-un an ( nu am plicul, scrisoarea in sine, am si spus ), in Bucuresti, din Gap din Franta : icoana il infatiseaza pe Isus Cristos, Pruncul Isus sau Le Petit Jésus, in iesle, in cresa, ( in the crib ), dar cum ?? Mai deosebit. Adica : Pruncul Isus sau Le Petit Jésus se aflã asezat, in sezut !, pe fânul care acoperã culcusul sãu, in care l-a asezat Fecioara Maria imediat dupa ce L-a nascut, Pruncul Isus sta deci in sezut, in mana Sa stanga, Isus tine Crucea, o Cruce lunga, subtire, delicata, frumoasa, simpla, mana Sa Dreapta este ridicata si degetele sunt incrucisate, primele 3 degete ale mainii, si ultimele 2 degete tinute in podul palmei, adica stranse , in jurul capsorului sau cu par blond, usor ondulat, Pruncul Isus are o Aura mare, mare, poarta o camasuta alba, simpla, si tine piciorusele Sale incrucisate ! In fata Sa, se aflã 3 Ingerasi, doi ingerasi mai mari, si un ingeras mai mic la mijloc intre cei 2 mai mari, iar Ingerasii mai mari, cei 2, tin in mainile lor flori, cred ca sunt flori de crin, sunt flori albe, dar si niste flori roz. In partea stanga a Pruncului Isus, in partea cu mana Sa stanga in care El tine Sf. Cruce, mai departe putin, dar privind atenti, se aflã 2 magarusi, pe Cer vedem o raza mare, lata, latã, de Luminã care cobora si se opreste direct asupra Pruncului Isus. Pe iconita scrie in franceza si in italiana : "Imprimé en Italie. Printed in Italy". Dar partea interesanta este pe verso, pe spatele icoanei cu ieslea aceasta. Pe saptele iconitei acesteia este o stampila ovala, usor stearsa, dar cat sa vezi ce scrie si scrie asa : "* BLAGOSLOVENIE. * I(J)ERUSALEM DE LA LOCURILE SFINTE ". Ei bine ? Scrie in limba romana, "De la locurile Sfinte [ cu "S" mare, majuscul ]. Iar iconita cu aceasta Iesle sau Cresã sau Crib sau Crèche, ne-a fost trimisa de la manastirea din Gap din Hautes-Alpes, din Franta, la Bucuresti in Romania in Drumul Taberei, de catre Sr.Dominique, candva, in anii incepand cu 1976, in intervalul anilor de pana in 1989 la revolutia romana.

Continuare: Daca toata lumea l-ar "intalni" pentru prima data in viata - candva, tot e prima data in viata ! - asa cum l-am "intalnit" si descoperit noi, niste fetite mici, niste eleve la inceputul scolii, pe Isus Cristos, sunt sigura, dar sigura, ca toata lumea l-ar iubi pe Isus Cristos ! Pentru ca la varsta aceea, Isus este chiar un prieten, mai mult, este un bebelus care are nevoie de atentia, dragostea, ingrijirea ta. Si asa, se pecetluieste, atat de simplu, de natural, o prietenie, o Iubire pe viata, iubirea pentru Isus si iubirea lui Isus pentru tine, pentru noi, pentru oameni. Cat de simplu si natural ! Imi spun adesea, "intr-adevar, mare, mare esti Doamne Isuse !"

Mama stia ca, atunci cand in 1976, in vara, Scoala Catolica "Doctrine Chrétienne" din Constantine, si-a inchis portile, dupa zeci si zeci de ani de existenta, Sr Dominique i-a spus mamei ca in Capela Scolii noastre, autoritatile epocii, algeriene, din Alger ( acolo unde sunt ministerele si se iau deciziile ) vroiau sa faca, in loc de Capela, o sala de cinematograf. Si in Romania, am citit ca in manastiri, biserici, locuri de rugaciune, comunistii cand s-au instalat la putere in 1948, si in anii care au urmat, au amenajat de exemplu, o Cabana la munte, unde se si tineau chefuri, sau alte locuri de distractie. Si cat de frumoasa era Capela aceea a Scolii noastre, era superba, nu era mica, era destul de mare pentru o Capela, as spune mare, spatioasa, curata, racoroasa, afara Soarele ardea puternic si in Capela era numai bine sa stai, departe de orice zgomot, niciun zgomot nu patrundea intre zidurile Capelei noastre. Si era de o frumusete ! Si era "a noastra". Parintii elevelor niciodata nu intrau in Scoala, niciodata. Ei stateau numai in holul mare, in atriumul spatios, de la intrarea in Scoala, cand veneau sa isi ia acasa copiii, elevele, dupa orele de scoala. O exceptie a facut-o tatal Corinei Resl, doctorul Jaroslav Resl, doctor de boli contagioase ( exact asa se numea, lucra la spitalul din Constantine, erau ei, o familie de cehoslovaci de origine, lucrand temporar in Constantine ) in ultima zi de scoala, el a venit in clasa si ne-a facut fotografii. Au fost singurele fotografii pe care le-am facut si le-a facut cineva in anii de scoala, si ma bucur ca le avem, a fost atat de bine inspirat sa le faca ! S-ar putea ca, mama mea, o data sa fi urcat pana in sala noastra de clasa.

Continuare: Daca tot e sa vorbesc de, - poate - coincidente, fapte inexplicabile - in anii mei de liceu 1982 - 1986 am avut o buna colega de clasa, numele ei de familie era Eustatiu, o chema Gabriela-Iulia Eustatiu si candva, dupa 1990, impreuna cu parintii ei au emigrat in Canada unde traiesc si astazi.

Continuare: In Paris in 1991 mi-a placut mult Biserica Saint-Eustache, Sfantul Eustatiu, acesta fiind un soldat sau ofiter roman care, mergand intr-o zi printr-un crang - in trecut acolo era un crang, nu capitala Paris ! - in cale, el fiind calare, pe cal, i-a aparut un Cerb, tinand intre coarne Sfanta Cruce. Era luminos. Eustatiu romanul s-a crestinat din clipa aceea a crezut in Dumnezeu si tot el a increstinat Franta. Se spune ca - asa scrie despre ea - Biserica Saint-Eustache din Paris este o biserica cu foarte mare har, in care se infaptuiesc mari, mari minuni. Nu stiam aceasta cand am pasit pragul ei, sau nu stiam asa mult, stiam ca e o biserica foarte veche din Paris. M-am rugat in Biserica Saint-Eustache, acolo, pe dale, pe jos, sub tine, sub pasii tai, este chiar Istoria Frantei. In acea biserica sunt mormintele multor oameni mari ai Frantei din vremea Regilor Frantei. Este un loc al credintei crestine, dar este chiar Istoria insasi in acelasi timp, parca intri in Istorie cand intri in penumbra si racoarea acestei biserici, in unele locuri, fiind chiar foarte intunecata. Si te poti ruga in liniste, nu te stie nimeni, adica te poti reculege, gandi la ceea ce vrei sa il rogi pe Dumnezeu, la Dumnezeu. Dar, preotii au mare har si cand am iesit eu de la un loc in care ma oprisem sa ma rog, un preot mi-a iesit in intampinare, dar nu a insistat. Eu ma simt foarte bine cu Dumnezeu. De spovedit, nu ma puteam - in principiu - spovedi, pentru ca, iata, sunt ortodoxa. Oricum in astfel de locuri stii, ti se spune ca daca ai nevoie de indrumare, de un sfat spiritual, un preot iti sta la dispozitie. In general insa, cand intru intr-o Biserica, ma bucur sincer ca ma aflu cu Dumnezeu, cu Fecioara Maria si cu sfintii, cu Isus Cristos, cu Petit Jésus si ma simt foarte bine !

Continuare: Cum am spus, Parisul - si e firesc, e o capitala asa mare ! - are multe biserici vechi, superbe, impresionante, cu mare har. Cat m-am tot plimbat eu 2 luni, in 1991, prin Paris, am ajuns si pe Saint Germain. Ok pana aici. Si am intrat intr-o biserica, - ma rog, cred ca in 2, prin zona aceea - dar nu mai eram foarte sigura de numele ei, Saint Gervais, oricum stiam ca imi pot reaminti, pot gasi cu precizie, intrucat prin Paris am umblat efectiv cu o Harta Mare, mare, a Parisului in mana, si cu un Ghid "Michelin" al Parisului, din care chiar m-am inspirat pentru a gasi locuri istorice, biserici, muzee, pe care sa le vizitez ( erau mentionate, adresa, cum ajungi acolo, taxa de intrare, daca era cu taxa, orele de program, etc. ). Ei bine, am gasit Biserica Saint Gervais, si ea are o pagina internet. Si ce sa vezi ? Dintre atatea biserici din Paris, astazi de la Biserica Saint Gervais se difuzeaza de catre Televiziunea Catolica KTOTV.com din Franta, Oficiul Laudelor "Laudes", si midi ( pranzul ) mi se pare,- exact de la Biserica Saint Gervais,- unde acestea se tin si se inregistreaza.

Continuare: Cand am ajuns eu, tarziu, peste ani si ani, in 2005, studenta la Drept, in anul intai, am avut in primul semestru, cursul de Franceza, si profesoara mea din facultate se numea ( doamna ) Olga GRATIANU. A fost o profesoara foarte amabila, dar, asa amabila cum era ea, ne-a tinut cel mai serios curs si mai ales, ne-a facut sa trecem, fara exagerare, prin toata materia limbii franceze de la inceputuri, de la adam si eva, si mai ales inca, am dat cel mai serios examen care s-a dat in toti cei 4 ani de facultate...la Drept !

Continuare: Biserica Sfantul Iosif ( Saint Joseph ) din Enghien les bains era foarte frumoasa, veche, cand intrai, gaseai un raft cu cartile de rugaciune, fiecare credinciosi isi lua de pe raft o carte groasa de rugaciuni, imbracata in coperta de plastic ( cam cum sunt / erau caietele la scoala ) si se asezau in banci, si apoi incepea Sfanta Liturghie, dura intotdeauna 1 ora, regretul meu, ca nu m-am putut impartasi, cu Sfanta Ostie, insa am dat / ne-am dat pacea cu ceilalti credinciosi ( se da mana cu cei din jur, se da pacea ), insa Anne-Marie s-a impartasit, desigur. Cand, in anii imediat trecuti, am cautat pe internet, am gasit ca Biserica Sf. Iosif din Enghien les bains are si ea astazi pagina internet, web, si acolo, pe pagina Bisericii se mentiona si despre o alta biserica ( din cate am inteles ) care s-ar fi renovat, care, pe scurt, nu avea sediu, cladire, si atunci isi tinea slujbele in cladirea Bisericii Sf. Iosif din Enghien les bains, aceasta Biserica avea / are hramul Sfantului GRATIAN ( Saint Gratien ). Ma gandeam atunci, citind acestea, "Ia stai putin, Anne-Marie, cand te-a invitat in 1991 la ea, la "Paris" ( adica in apropiere de Paris ) locuia in alta comuna ( nu in Enghien les bains ), in Epinay sur Seine, si acolo, in acea localitate ori comuna, Anne-Marie locuia pe strada SAINT-GRATIEN ( Sfantul Gratian )". De altfel, cand am ajuns la Enghien les bains in 1991 la Anne-Marie, intr-o sambata sau duminica m-a luat cu ea si ne-am plimbat pe jos, din Enghien les bains, pana tocmai in Epinay -sur-Seine unde mi-a aratat chir blocul in care locuise, locuia, cand imi scria primele ei scrisori si ma invita la ea. A fost aceea, o zi frumoasa, calda, placuta, si am facut o plimbare foarte agreabila pe drumul care lega Enghien les bains de Epinay-sur-Seine.

Continuare: In anul 1991 am vizitat deci cateva biserici, catedrale - Parisul are unele foarte, foarte vechi, si desigur, Catedrala Notre-Dame despre care toata lumea a auzit. Am vizitat o biserica - exista cel putin 2 astfel de biserici insa, cu acest hram - a Sfantului Nicolae. In anii trecuti am cautat pe internet, Biserica Sfantul Nicolae ( Nicolas ) din Paris pe care o vizitasem in 1991 si am gasit-o, astazi are o pagina web, internet. De asemenea, am cautat si Biserica Sfantul Iosif, unde chiar am mers la Sf. Liturghii, sambata cam pe la ora 18h00, impreuna cu Anne-Marie. Imi placea sa fiu cu Anne-Marie, in sensul ca era nepoata lui Sr Dominique, si astfel ea mergea la slujbe, spre deosebire de tot mai multi francezi, care nu mai obisnuiau sa vina/ sa mearga la slujbe, la Biserica, cum s-ar spune "nu mai era moda". Mi-a placut ca, Anne-Marie m-a luat cu ea, adica mi-a spus pe un ton absolut firesc "Mergem la slujba, sambata, hai sa mergem !", ca si cum eram chiar "de-a casei", din familie cum se spune, si eram, chiar eram, din familia crestina. Sr Dominique era matusa lui Anne-Marie, adica era sora tatalui lui Anne-Marie. Sa ai asa o matusa, o calugarita, o femeie sfanta !

In 1991 in primavara-vara, in cele 2 luni cat am locuit la Enghien les bains la Anne-Marie, nepoata lui Sr. Dominique, invatatoarea mea de la Scoala Catolica din Constantine Algeria, cum sa nu, desigur, vizitand in fiecare zi Parisul ( si in week-end si imprejurimile localitatii ( comunei, cum spun francezii ) Enghien les bains, impreuna cu Anne-Marie Scotto ) imi placea, nici nu se putea altfel, sa intru si sa vizitez biserici, catedrale. Si eu cred, sunt convinsa ca, atunci cand intri intr-o biserica, cand te rogi intr-o biserica, Biserica aceea anume - adica Isus Cristos, Dumnezeu, Fecioara Maria si sfintii care sunt ( moaste, icoane ) in acea Biserica NU TE UITA NICIODATA, ba chiar ei "VIN DUPA TINE", adica te insotesc de-a lungul vietii tale, sau te ajuta in imprejurari de viata importante. Asa este, mai ales daca te opresti si te si rogi intr-o Biserica, Catedrala, Bazilica, sau lacas al Domnului.

Despre Biserica Maria Radna din Lipova, spuneam ieri ca am aflat in trecut - poate prin 2012 ? - de la Parintele Laurentiu Dancuta. El spunea pe blogul sau ( scria, ma rog ) ca, de cate ori s-a dus / se duce la Biserica Maria Radna, simte un mare HAR, pace, si i se intampla concret in viata multe lucruri bune, minuni chiar. Pentru ca mie imi plac bisericile, dupa ce i-am citit blogul Parintelui, am cautat site-ul Bisericii Maria Radna si am gasit pe site Istoricul Bisericii pe care l-am luat si eu, l-am imprimat si l-am asezat frumos peste toate Acatistele, articolele privind credinta, rugaciunile, novenele pe care le am imprimate, dupa ce l-am citit desigur.

"1767. În ziua de 9 iunie, din nou în sărbătoarea Rusaliilor, episcopul Franz Anton Leopold von Engl zu Wagrain, mută solemn şi în mod personal icoana miraculoasă din vechea capelă în noua şi frumoasa biserică, pe care o binecuvântase cu o zi înainte."
ISTORICUL BAZILICII MARIA RADNA, LIPOVA, ROMANIA, Observati ziua de 9 IUNIE, in SARBATOAREA RUSALIILOR.

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Olivia Maria Marcov

Saturday, June 7, 2014 at 1:42 pm :

"1756. La data de 7 iulie, în sărbătoarea Rusaliilor, are loc aşezarea pietrei de temelie a unei noi biserici pentru Maria-Radna, biserica veche fiind deja neîncăpătoare. Celebrarea este condusă de către prepozitul mare al Capitlului Catedral de Cenad, cu reşedinţa la Timişoara, Clemens Rossi. Noua biserică dăinuie până în zilele noastre."
ISTORICUL BAZILICII MARIA RADNA, LIPOVA, ROMANIA, extras, Observati ziua de 7 iulie ( 1756 ) in SARBATOAREA RUSALIILOR.”

                                                                                                                                   

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